Phénomène macroéconomique majeur, l’uberisation marque un changement accéléré des rapports de force dans certains secteurs grâce à la numérisation de l’économie. Ce néologisme tiré de la célèbre startup américaine Uber fait désormais référence à une transformation économique marquée par l’esprit communautaire, l’innovation et l’indépendance. Mais l’uberisation est-elle une opportunité ?
L’institut de sondage Ifop vient de réaliser une enquête sur la réception du « manifeste des start-up », établi par l’association France Digitale. Les questions portaient sur la façon dont les Français perçoivent le numérique, l’Europe, le nouveau Président... et leur impact sur l’avenir. Dans l’ensemble, les personnes interrogées se montrent plutôt optimistes.
Nombreux sont les entrepreneurs qui rêvent de faire le tour du monde avec leur projet révolutionnaire. Pour déterminer si oui ou non, les Français réussissent leur déploiement à l’international, le cabinet Pramex International et la Banque Populaire ont mené une étude. Cette dernière vise à analyser la stratégie de 1919 entreprises françaises et elles s’en sortent plutôt bien.
Peut-être l’avez-vous remarqué, les start-up françaises présentent une certaine tendance à se vendre au plus offrant. Alors que dans d’autres pays, cette pratique semble rejetée, la France voit ses lucioles partir à l’étranger pour ne jamais en revenir. Pourquoi les Français vendent-ils si facilement aux étrangers ?
L’ouverture d’un compte constitue un passage obligatoire pour tous les particuliers. Ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers des banques en ligne. Modernes, pratiques, disponibles partout et tout le temps, ces plateformes présentent plusieurs avantages qui séduisent les particuliers.
Les jeunes pousses ne tiennent pas en place ! On observe, depuis quelque temps, que la majorité des levées de fonds effectuées par ces dernières sont consacrées à leur implantation à l’étranger. La nouvelle génération de start-up semble partie à la conquête du monde et rien ne paraît l’arrêter. Les détails.
Chaque entreprise détient sa politique sur le port du costume/tailleur. Certaines entreprises exigent celui-ci alors que d’autres vous laissent libre de votre choix vestimentaire. La balance pesant les pour et les contre s’équilibre. Zoom sur les arguments avancés par les deux parties.
Proposer une offre gratuite et facile d’accès pour attirer les utilisateurs et les encourager à payer pour une offre plus complète, c’est le principe du « freemium ». Un concept bien connu dans l’univers des logiciels et de l’économie numérique, mais transposable à bien d’autres secteurs d’activités.
L’ère du numérique a-t-il véhiculé des facilités qui ont transformé la vie du consommateur ou s’agit-il plutôt d’objets peu utiles et qui ne peuvent profiter qu’aux entreprises qui le commercialisent ? Dans quelles mesures peut-on dire que le domaine des objets connectés va trop loin ?
Trois expressions servant à désigner le destinataire dans la vente sont entrées dans le vocabulaire courant des entrepreneurs et qui traduisent si votre client est un particulier, une administration ou une entreprise. Il s’agit du B to A quand votre client est une administration, B to B quand vous visez une entreprise (Business to Business) et du B to C (Business to Customer) quand votre client est un particulier. Plus récemment le C To C (Customer to Customer) est apparu mais, aujourd’hui, une nouvelle expression plus énigmatique prend le dessus le C to B(Customer to Business) ?