Une partie de ma famille est issue de la viticulture et, après une première vie professionnelle passée dans un autre secteur, j’ai décidé de me former, en parallèle, dans ce domaine. Je me suis découvert une véritable passion pour les vignes et le vin.
Pour Great Place To Work, cette définition se conçoit selon deux points de vue : pour les collaborateurs, une entreprise où il fait bon travailler est une entreprise où ils ont confiance en leur management, où ils sont fiers de leur travail et apprécient les personnes qu’ils côtoient
Encore étudiants à l’époque, Céline Nguyen (Chef de cuisine), Etienne Boix (Directeur des opérations) et moi (Directeur marketing et clientèle) sentions que les Français émettaient l’envie de cuisiner. Il demeurait compliqué, pour eux, de passer de l’idée à la réalisation.
Après mes études de finances, j’ai effectué un stage aux états-Unis au sein d’un fonds d’investissement. Je faisais partie d’une équipe spécialisée dans la partie e-commerce, avec pour objectif de trouver des entreprises dans lesquelles investir. J’ai réalisé que ce n’était pas vraiment ce que je souhaitais faire.
L'idée de Wecasa m’est venue de ma propre expérience. Depuis que je suis papa, je constate que, ma femme et moi, passons nos semaines à courir comme des fous. Organiser nos vies professionnelles et personnelles s’avère assez complexe.
Je viens de la campagne et ait été baigné dans l’univers de l’écologie de par mon éducation. Que cela se traduise par la formation culinaire que j’ai reçue dès mon enfance, par les loisirs avec la possibilité d’aller gambader les après-midis, par la découverte de la nature, …
L'idée du concept trouve son origine dans mon enfance. à l’époque, une nourrice, qui venait d’Afrique, s’occupait de moi. Elle était un peu comme ma deuxième maman, nous étions très proches. Elle ne pouvait malheureusement pas voir ses enfants pour des problèmes de papiers et d’argent. Choqué, j’ai décidé d’entreprendre dans le solidaire, ce fut mon point de départ.
Après avoir travaillé 7 ans dans l’événementiel Artistique à répondre aux problématiques des grands groupes, je ne trouvais plus vraiment de sens à mon métier et j’ai décidé de changer de cap ! J’ai donc profité du début de mon chômage pour « faire ma part » si l’on peut dire, en m’investissant dans des projets associatifs.
La création de Keen Eye Technologies a été rendue possible, entre autres, par mon parcours. Ingénieur de formation, j’ai fait le choix de fonder cette entreprise en m’appuyant sur mes dix années d’expérience passées en recherche académique, en France et aux états-Unis.