Beaucoup de repreneurs, impactés par la crise actuelle, cèdent à la tentation, bien compréhensible, consistant à économiser sur les frais de conseil. Certes, dans le contexte actuel, la tentation est grande pour le repreneur de tenter une recherche de cibles par soi-même, de « rogner » sur les frais d’audits, ou d’engager les experts-comptables ou les avocats les moins-disant. C’est pourtant une très mauvaise idée : seuls les repreneurs ayant vraiment professionnalisé leur approche peuvent espérer aboutir dans leur projet d’acquisition, ce pour plusieurs raisons.
Une entreprise française qui souhaite bénéficier d’un nouveau relais de croissance peut choisir de se positionner sur un nouveau marché géographique et doit alors entamer une réelle démarche exportatrice. En France, de nombreux soutiens publics sont mis en place pour accompagner et assurer cette entreprise-là, a fortiori s’il s’agit d’une PME.
L’export coûte. En vous exportant, votre activité s’intensifie. Les nouveaux appels d’offre créent des besoins de financement et les taxes peuvent poser problème à la bonne tenue de votre trésorerie. Voici quelques astuces de développement à l’international.
Plus réactives, plus proches des réalités locales… les PME ont toutes les qualités pour être retenues pour les marchés publics. Pourtant, elles restent encore minoritaires, n’obtenant en moyenne qu’un tiers des appels d’offre. Comment combler ce fossé ? La CGPME Paris Ile-de-France propose de renforcer les PME, là où jusqu’alors elles étaient moins bien outillées que les grandes entreprises.
Quelques pistes de réflexion face à un problème concret rencontré par un entrepreneur dans ses défis de chef d’entreprise. Témoignage de Pascal Lucas, chef d’entreprise en plomberie-chauffagerie.
Votre activité internationale induit des besoins spécifiques en matière de financement. Il faut vous s’efforcer de les minimiser afin d’alléger au maximum vos frais financiers et maintenir votre compétitivité.
A divers moments de la vie d’une entreprise, il arrive que la capacité financière propre de l’entrepreneur, celle de ses proches ou encore celle de la société elle-même ne suffisent pas pour financer correctement un projet entrepreneurial. C’est à ce moment que peut se poser la question de faire entrer des fonds d’investissement.
La transmission d’entreprise est un acte de gestion qui vise deux objectifs différents : donner à l’entreprise les moyens de se vendre sur un marché concurrentiel tout en garantissant sa pérennité et se créer un capital dans les meilleures conditions. Ces deux approches sont interdépendantes et nécessitent de s’y prendre en amont de la vente effective.
Lors de toute opération de reprise d’entreprise, que ce soit un fonds de commerce ou une société, des droits d’enregistrement doivent être payés à l’administration fiscale