Lever des fonds apparaît souvent dans les différents médias comme le symbole de la réussite d’une start-up. Votre entreprise a atteint un cap de développement et vous souhaitez ouvrir de nouveaux horizons. Pourtant, vous commencez à entendre que lever des fonds pourraient ne pas se révéler l’eldorado promis. En voici quelques exemples.
60 000 entreprises sont mises en vente et 185 000 sont susceptibles d’être cédées chaque année qui représentent 750 000 emplois. La moitié d’entre elles disparaissent faute de repreneur. Or, le taux de survie des entreprises récemment cédées est bien supérieur aux autres entreprises : 60% à 5 ans contre 50% pour les autres entreprises. Faute de reprise bien préparée, ces entreprises pourraient disparaître, entraînant des pertes en emplois et savoir-faire.
L’une des craintes des dirigeants reste le cambriolage de leur entreprise. Si aujourd’hui les systèmes de sauvegarde externe permettent d’éviter le pire pour les sociétés informatiques, reste qu’il est toujours désagréable de devoir renouveler en une fois tout le matériel informatique si des intrus s’en sont emparés, par exemple. S’il existe des systèmes classiques pour les grandes entreprises, de nouvelles formules sont apparues pour les petites et moyennes entreprises.
Nul ne doute que vous en avez-vous probablement entendu parler. Mais connaissez-vous le Dogecoin, XRP, Ethereum et Litecoin ? Ce ne sont pas des noms de groupes de rock mais des monnaies numériques. La question à laquelle nous allons répondre est : faut-il investir dans la crypto-monnaie ou non ? Avant de nous lancer dans un investissement, expliquons ce qu'est la monnaie numérique.
Si les entreprises disposant d’un CE procurent certains avantages à leurs salariés, tels des réductions, des chèques vacances ou encore des cadeaux de Noël, les plus petites organisations peuvent également faire preuve d’attentions à l’égard de leurs collaborateurs. Source de motivation mais pas seulement, quels sont les moyens à votre disposition ?
Dans de nombreuses petites entreprises, le dirigeant est sur tous les fronts à la fois : commercial, gestion, ressources humaines… mais pas forcément formé à la fonction RH et compétent dans ce domaine. Vous devez cependant vous montrer bienveillant à l’égard de vos collaborateurs si vous souhaitez qu’ils soient motivés. Si on pense naturellement aux primes, augmentations voire aux cadeaux pour montrer sa reconnaissance, ils sont loin d’être vos seuls leviers.
Des privilèges ou une liberté accrue
L’employeur peut mettre en place des actions, n’ayant pas de valeur pécuniaire directe, mais qui peuvent faire toute la différence. Le premier exemple pourrait être celui des RTT. Outre le nombre de jours alloués, sur lequel le dirigeant peut être plus généreux que la règle s’il le souhaite, l’entreprise peut faciliter leurs conditions d’octroi : procédure de demande simplifiée, réduction des délais pour les prendre… car il n’y a rien de plus frustrant pour un salarié qui s’investit que de se voir refuser une journée parce qu’il ne l’a pas prise dans les temps pour permettre à son employeur de l’être…
Dans la même lignée, accorder un jour exceptionnel à un collaborateur, sans qu’il en ait les droits et si cela ne pénalise pas l’organisation, peut être un signe de reconnaissance face à son engagement. Une certaine souplesse des horaires et de la présence en entreprise influe également sur la motivation de vos salariés et montre que vous pensez qu’ils sont responsables et dignes de votre confiance.
L’écoute et le partage
Un autre exemple concerne l’écoute et le partage. Prendre du temps individuellement ou collectivement avec son équipe, et pas uniquement pour parler boulot mais de tout et de rien, est essentiel. Cela passe notamment par des petits déjeuners ou déjeuners ensemble de temps à autre, la célébration de certains événements, voire des activités incentives pour dynamiser l’esprit de groupe.
Prendre du temps pour écouter vos salariés représente également une source de motivation surtout si vous appliquez ce qu’ils demandent. Ils vous confieront parfois des constats sur des tâches qui les ralentissent par exemple ou qui les ennuient et que vous pouvez parfois externaliser pour que chacun se concentre sur les plus importantes.
Mais pourquoi être un dirigeant attentionné ?
Tout d’abord, la bienveillance est source de développement de la motivation. A ce titre, elle est une forme de récompense du dirigeant vis-à-vis des collaborateurs face au travail accompli, et moyen de les inciter à s’investir plus, sur le principe du donnant-donnant.
Ensuite, les attentions de l’employeur reflètent d’un état d’esprit général et, elles sont communicatives et donc elles favorisent la bonne ambiance. Elles rendent les salariés contents de se lever le matin pour aller travailler. Dans ce cadre, elles fidélisent. Elles sont également perçues par l’extérieur et sont des vecteurs de l’image positive de l’entreprise, notamment auprès des partenaires tels les fournisseurs qui ressentent l’humeur générale au contact des collaborateurs de l’entreprise. Elles sont aussi une source d’attrait pour des candidats à l’embauche.
Enfin et c’est peut-être le plus important : cela fait de vous une meilleure personne.
Les limites à prendre en compte
Si les actions bienveillantes sont appréciées des salariés, l’employeur doit néanmoins être vigilant à ce qu’elles ne se retournent pas contre lui. Ces attentions doivent être mises en œuvre dans un cadre, certes non rigide mais n’offrant pas trop de souplesse non plus. Aussi, le dirigeant peut essuyer des critiques sur le favoritisme si les actions ne sont pas jugées égalitaires entre les collaborateurs et donc produire l’inverse de l’effet escompté.
De plus, sans un minimum de règles, elles peuvent parfois induire des abus.
Par ailleurs, il convient de prendre en compte que les attentions de l’employeur peuvent n’avoir aucun impact sur certains collaborateurs notamment ceux pour qui l’argent représente le seul vecteur de motivation. Ils ne percevront pas les actions ou peuvent les qualifier de dépenses inutiles qu’ils préféreraient voir transformer en primes.
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