D’une certaine manière, la reprise d’entreprise concerne le marché de l’occasion, sauf que les affaires « en 2ème main » font le plus souvent référence à un argus qui détermine précisément la côte du bien à partir de critères précis et quantifiables. C’est le cas par exemple pour une voiture d’occasion dont la valeur est déterminée par le modèle, le millésime, le kilométrage, les options…
Plus réactives, plus proches des réalités locales… les PME ont toutes les qualités pour être retenues pour les marchés publics. Pourtant, elles restent encore minoritaires, n’obtenant en moyenne qu’un tiers des appels d’offre. Comment combler ce fossé ? La CGPME Paris Ile-de-France propose de renforcer les PME, là où jusqu’alors elles étaient moins bien outillées que les grandes entreprises.
Le marché de la reprise d'entreprise représente un volume de 600 000 entreprises qui vont changer de main dans les 10 ans à venir (source OSEO / INSEE), soit une moyenne de 60 000 transmissions par an. La reprise est l'occasion de mener des réformes au sein de l'entreprise et de la faire grandir.