Si tout le monde s’attend à une reprise de la vie normale dès le 11 mai, en réalité de nombreux commerces devraient rester fermer et les habitudes comme la possibilité de distanciation devrait être une condition requise. Zoom sur les commerces qui vont ouvrir ou non et les dates prévisionnelles pour ceux qui seront encore contraint d’attendre.
La sortie de confinement, pour une grande majorité de chefs d’entreprise, va se dérouler sous les hospices du stress et de la peur. Si chaque année, la même petite routine et les mêmes cycles faisaient tourner l’entreprise, il est clair que cette année ne va pas se dérouler comme les années précédentes et il va falloir avoir les nerfs solides pour beaucoup d’entre eux. Zoom sur ces inquiétudes pour la rentrée.
Si de nombreux entrepreneurs sont inquiets du fait de la crise sanitaire et de l’interruption de l’activité notamment dans le secteur événementiel, il faut bien constater qu’il devrait y avoir un véritable assaut des magasins à la réouverture mais aussi l’envie de retrouver l’ambiance des salles de théâtre et de cinéma. Zoom sur quelques secteurs qui devraient connaître le succès à la levée du confinement.
Créer ou reprendre une entreprise peut être facilité par la prise d’un congé à temps plein ou à temps partiel qui permettent au porteur de projet de se consacrer au développement de son projet et de réintégrer l’entreprise dans le cas où son projet ne rencontrerait pas le succès escompté. Quelles sont les procédures à suivre ?
La période actuelle est propice aux reprises d'entreprises, alternatives à une création pure. L'attractivité de la reprise repose sur le fait que l'entreprise a son activité qui est déjà mise en place, qu'elle est pourvue d'une équipe, de clients, de fournisseurs, d'une structure, etc. Mais il faut savoir qu'une reprise coûte souvent plus cher qu'une création, et ce, même lorsque la reprise se fait à la barre du tribunal, sans plan de redressement proposé par les dirigeants.
Reprendre une entreprise permet d'avancer plus rapidement du fait du rachat d'acquis, clients, fournisseurs, partenaires. Contrairement à la création d'entreprise, le candidat à la reprise bénéficie d'un historique qui lui permet de se projeter avec plus de certitudes. Afin de mettre toutes les chances de votre côté lors d'une reprise et de faire de cette acquisition une réussite, voici quelques conseils et pistes de réflexion.
Le closing constitue l’objectif, pour ne pas dire le Graal, de tout repreneur. Pendant des mois, voire des années, le candidat à l’acquisition d’entreprise va déployer ses meilleurs efforts, son énergie, ses compétences, ses ressources, pour atteindre ce but… qui n’en est pas un! Le closing n’est qu’une étape, certes importante, qui doit amener le repreneur à devenir un bon chef d’entreprise.
Voilà un sujet d’avenir considérable et pourtant sous-estimé de nombreux dirigeants… la transmission d’entreprise. Au travers l’exemple canadien, les entrepreneurs français doivent prendre pleine conscience des enjeux économiques qui se cachent derrière cette problématique. Pourquoi transmettre ? Quand ? Auprès de qui prendre conseil ?
Beaucoup de repreneurs, au sortir de grands groupes, calibrent la volumétrie de leur projet de reprise sur leurs responsabilités passées, en termes de chiffres d’affaires (« je n’ai jamais dirigé de BU de moins de 50 M€ »), ou en termes d’effectif (« j’ai toujours eu à manager des équipes de plus de 100 personnes). Bien sûr, ces « high potentials » ne sont pas faits pour reprendre une TPE. Pour autant, un travail de deuil est nécessaire à ces repreneurs-séniors. En effet, la position de dirigeants de haut-vol les a amené à être « locataires » de postes prestigieux, et les incite tout naturellement à envisager une reprise en « propriétaire » de cibles de mêmes dimensions, et, osons le dire, de même standing. C’est faire peu de cas des réalités du marché de la reprise.
Un grand nombre de repreneurs font le pari de sourcer des dossiers d’entreprises à céder par leurs propres moyens. Comme le font les auto-stoppeurs les jours de grands départs, ces repreneurs se postent en embuscade le long des grandes autoroutes de la reprise (sites internet, bourses d’opportunités papier ou électronique, associations de repreneurs,…)