60 000 entreprises sont mises en vente et 185 000 sont susceptibles d’être cédées chaque année qui représentent 750 000 emplois. La moitié d’entre elles disparaissent faute de repreneur. Or, le taux de survie des entreprises récemment cédées est bien supérieur aux autres entreprises : 60% à 5 ans contre 50% pour les autres entreprises. Faute de reprise bien préparée, ces entreprises pourraient disparaître, entraînant des pertes en emplois et savoir-faire.
Le repreneur idéal existe-t-il ? Certainement mais il va falloir aller à sa recherche et bien étudier toutes les propositions qui se présentent. Céder son entreprise dans laquelle on a tant investi en temps et en énergie à un repreneur est loin d’être une tâche aisée. Pour réussir la transmission, il faut appréhender tous les contours de la cession dont la diffusion de l’offre, la recherche mais aussi cerner la personnalité et les compétences du repreneur. Quelques clefs pour que la cession soit une réussite.
Vendre son entreprise est un processus complexe qui nécessite une attention particulière et plusieurs mois de préparation. Le parcours de tout cédant est jalonné d’obstacles et de pièges. Est-ce le bon choix ? Quelles sont les raisons qui peuvent motiver un tel choix ? À quel moment faut-il céder son entreprise ?
Etre racheté par un grand groupe procure une assurance de continuité et de pérennité à votre TPE. De plus en plus d'entrepreneurs l'envisagent avec sérieux. Mais comment se mettre en avant ? Voici cinq astuces qui devraient vous y aider !
Il arrive parfois un moment où il est nécessaire d’enclencher la liquidation judiciaire de son entreprise pour mieux rebondir et surtout pour éviter de se retrouver dans une impasse. La liquidation judiciaire est mise en œuvre lorsque l’entreprise, l’artisan, l’association, ou la personne physique concernée est en état de cessation des paiements et que son rétablissement se révèle impossible. La liquidation judiciaire s’applique aussi à l’entrepreneur individuel à responsabilité limitée (EIRL), mais seulement en ce qui concerne son patrimoine affecté.
La décision de céder son entreprise trouve son origine dans multiples raisons : retraite, nouveau projet ou tournant à prendre avec les innovations qui se profilent…La liste est longue mais il apparaît naturel de céder son entreprise. La céder c’est décider de passer à une autre étape et donc de s’y préparer avec le même œil optimiste que l’on prend quand on crée son entreprise.
Céder son entreprise est loin d’être une sinécure et fait appel à de nombreuses compétences techniques pour gérer les aspects financiers, sociaux, fiscaux et juridiques. Cela demande également une bonne maîtrise des méthodes d’évaluation, des techniques de négociation ainsi qu’une excellente connaissance de son marché.
Céder son entreprise à un repreneur peut s’avérer simple, à condition de respecter certaines règles. Le plus important étant qu’à la fin de la transaction, vous soyez satisfait aussi bien sur le montant du rachat qu’en ce qui concerne le profil du repreneur.
La vente d’une société est un moment important pour un entrepreneur. Il faut à cette occasion aborder un ensemble de sujets allant des modalités de paiement au projet professionnel du repreneur. Dans les 10 prochaines années, selon le site d’information du ministère de l’économie plus de 600 000 entreprises seront transmises à des repreneurs. Avant de céder votre entreprise, appréhender ses forces et ses faiblesses afin d’en établir le diagnostic est au cœur de la réussite de tout rachat. Ce diagnostic prend notamment en compte un ensemble de critères et de facteurs : les produits, le marché, la concurrence, la stratégie de l’entreprise, les ressources humaines, la comptabilité, les moyens, les aspects juridiques et financiers, etc. et exige une préparation minutieuse qui demande de développer un savoir-faire. Pour chaque transaction, plusieurs points centraux sont à prendre en compte. Comment se préparer et négocier au mieux le rachat de son entreprise ?
Les points de vue du repreneur et du vendeur sont par définition antagonistes et les discussions vont permettre de se connaître, de poser les points d’accord et surtout de voir si des solutions peuvent être trouvées sur les points de friction. Pour chacun d’entre eux, l’important est de tirer le meilleur parti de la négociation. Un art véritable à maîtriser.