Chaque année, de nombreuses PME et TPE sont victimes d’escroqueries. Certains arrivent même à profiter du contexte du COVID-19 pour arnaquer les entrepreneurs et leur proposer toutes sortes de prestations sous l'égide de la protection des salariés.. Les chefs d’entreprises sont devenus les cibles privilégiées d’arnaques toujours plus difficiles à déjouer. Cependant, il existe quelques bons réflexes à avoir pour contrecarrer les différentes fraudes existantes. Pour les entrepreneurs, quelles sont les arnaques les plus courantes à éviter ?
Cumuler un emploi avec une activité indépendante est aujourd’hui possible à condition de respecter certaines règles. La loi de modernisation de l’économie (LME) a favorisé le cumul grâce à la mesure concernant le statut du micro-entrepreneur.
Les démarches administratives pour créer son entreprise ont été simplifiées grâce à la mise en place des centres de formalités des entreprises (CFE), "guichets uniques" auprès desquels sont déposées les demandes d'immatriculation, de modification ou de cessation d'activité des entreprises, et par l'ouverture de services en ligne.
Deuxième secteur d’activité de l’artisanat français, le marché de la coiffure fait bel et bien partie des incontournables. Depuis quelques années, ce secteur subit la baisse du pouvoir d’achat et doit faire face à un contexte économique difficile. Analyse.
Si 60% des femmes âgées de 18 à 29 ans pensent devoir mettre leur carrière en pause pour devenir mère (étude IPSOS), cela ne peut pas être une option pour les femmes entrepreneures. Elles ont, en parallèle de leur grossesse, à s’occuper de leur entreprise. Mais comment bien gérer le congé maternité et la diminution d’activité qui y est liée ?
Entreprise individuelle, EURL (entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée), SARL (société à responsabilité limitée), SAS (société par actions simplifiée), SA (société anonyme), SNC (société en nom collectif)... Les possibilités sont nombreuses mais choisir le bon statut juridique est non seulement difficile mais surtout, déterminant. En effet, le développement de l'entreprise, la répartition du pouvoir et la responsabilité des dirigeants (…) dépendent entièrement du statut juridique. Comment faire le bon choix ?
Le régime de l'auto-entrepreneur permet une petite activité professionnelle indépendante de manière très aisée, de façon ponctuelle ou régulière tout en réduisant les coûts administratifs. L'auto-entrepreneur fait figure d'entrepreneur individuel inscrit au registre national des entreprises (RNE) et bénéficiant de mesures simplificatrices.
Cumuler un emploi avec une activité indépendante c’est possible, à condition de respecter certaines règles. La loi de modernisation de l’économie (LME) favorise la possibilité d’effectuer ce type de cumul grâce à la mesure concernant le statut de l’auto-entrepreneur.
Lorsqu'un retraité se mue en créateur ou repreneur d'une entreprise, les revenus tirés de sa nouvelle activité peuvent influer sur sa pension retraite, le cumul de ces deux ressources n'étant pas toujours autorisé.