Le monde du travail est souvent associé à un climat d’anxiété. Pour causes, la présence du stress, la peur du chômage, les nombreuses maladies professionnelles... Face à un tel constat, les entreprises revoient leur management pour l’orienter de sorte à ce qu’il devienne « bienveillant et autonome ». Au programme, écoute, estime de soi et bien-être au travail.
Se plaindre de tout et de rien est l’apanage d’un certain nombre d’entre nous. Cette plainte qu’on le veuille ou non est communicative et porte un regard pessimiste sur l’entreprise et son avenir poussant le dirigeant et ses collaborateurs à se plaindre même lorsque l’entreprise se développe. Quelle absurdité ! On pourrait dire que cette plainte se trouve corroborée dans les verbes :" je dois, il faut" qui transforment toute envie en devoirs
Tous les codes sont chamboulés depuis plus de six mois. La difficulté liée à l'incertitude ne rend pas la tâche facile aux dirigeants car ils doivent réinventer leur organisation et leur manière d'agir. Le bonheur au travail a un fort impact sur la vie personnelle et professionnelle. C’est pourquoi de nombreuses entreprises améliorent les relations avec leurs employés et se préoccupent de plus en plus de leur bien-être et de leurs demandes. Voici quelques conseils pour y parvenir dans votre entreprise.
Le conseil en management des organisations, dans cette époque de bouleversements constants et intenses, est devenu un partenaire-clé pour aider les entreprises à bien se transformer. Focus sur la raison d’être du conseil en management.
Dans la vie professionnelle comme dans la vie personnelle, décrypter les différentes personnalités permet d’avoir l’action et comportement adapté à chaque situation et en tant que manager conduire ses équipes à s’impliquer et à être force de propositions demandent de bien les cerner.
Parce qu’oublier les demandes de congés, faire des erreurs de calcul dans la paie et dépasser le budget sont des exemples d’erreurs de gestion bien coûteuses. Les salariés, eux, oublieront des plages de travail et dérangeront leurs gestionnaires quotidiennement avec de petites demandes.
De nombreux entrepreneurs désireux de créer leur société choisissent de ne pas recruter de salariés : on estime ainsi que près de 90 % des nouvelles entreprises ne comptent qu’un seul membre. Cependant, ce choix comporte aussi des désavantages sur le long terme, qu’il est bon de prendre en compte. Au final, est-ce vraiment une bonne idée de créer son entreprise sans salariés ?
Le Chief Happiness Officer abrégé CHO devient un poste de plus en plus recherché que ce soit en France ou aux États-Unis. Déterminé comme un responsable du bonheur au travail, s’avère-t-il réellement essentiel dans la vie d’une entreprise ? Son rôle bien qu’important peut parfois rester limité en fonction des structures. Ce nouveau métier qui se développe depuis quelques années, ne possède pas de tâches claires, ce qui pose la question de son utilité.
"Je ne faisais que lui poser une question, et il l'a mal pris et je ne sais pas pourquoi ! " "Pour impliquer mes équipes, je leur pose des questions mais j'obtiens un silence de plomb" .Pour obtenir des réponses, vous posez des questions à vos équipes. Quoi de plus naturel. Pourtant, vous en faites l’expérience dans votre vie personnelle, il existe des questions qui peuvent transformer une soirée paisible en enfer. Malheur, vous avez décidé de poser quelques questions à vos employés. Pire encore, vous le faites au quotidien et très vite, il y a comme une atmosphère dévastatrice au bureau. Le manager qui demande des explications à ses employés est souvent vu comme un despote. Pleins feux sur les questions que le capitaine ne doit plus poser !
La théorie des couleurs est le résultat des études psychologiques et comportementales menées par Brigitte Boussuat, Patrick David, Jean- Marie Lagache et retranscrites dans leur livre « Manager avec les couleurs » paru aux éditions Dunod. Cette théorie est issue d’une observation de comportement des personnes dans une société et nous donne des pistes pour mieux manager.