Selon le baromètre Vitalité, Sport & Entreprise, seuls 10 % des salariés français font aujourd'hui du sport en entreprise. Pourtant, l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) préconisait dès 2008 aux employeurs de proposer des activités sportives à leurs collaborateurs. En effet, la pratique d'une activité physique est porteuse de nombreux bienfaits, aussi bien pour la productivité que pour la santé. Entrepreneurs et dirigeants d'entreprise, simplifiez-vous la vie en faisant appel aux services d'un coach sportif professionnel !
Une des clés du succès des entreprises est de bien choisir ses collaborateurs. Faute d’attention suffisante, le dirigeant peut se retrouver confronté à des salariés dont le comportement perturbe la bonne organisation de l’activité : mauvaise qualité de travail, dégradation des relations… qui peuvent impacter toute l’équipe. Qui sont ces perturbateurs et comment les repérer ?
Désorganisés, narcissiques, colériques, voire pervers, les caractéristiques de certains salariés risquent de générer des troubles au sein de l’entreprise. Leur gestion constitue un vrai problème pour les dirigeants car ils peuvent provoquer d’importants désagréments envers les autres salariés. Ces quelques conseils vous aideront à réagir face à ces personnalités difficiles.
Il n’est pas rare d’entendre des collaborateurs s’esclaffer : « au lieu de se plaindre, il ferait mieux de déléguer, il ne fait confiance à personne ». Donner l’impression constante d’être débordé et d’être celui qui doit tout faire parce que personne ne fait mieux que lui est un comportement délétère. Si votre objectif est de rester une entreprise qui se cantonnera à rester une petite entreprise, ce genre d’attitude peut être possible mais l’ambiance qui se dégagera de votre entreprise ne conduira pas vos collaborateurs à espérer un avenir prometteur et donc petit à petit mettra à mal leur implication. Déléguer c’est gagner !
Le sacro-saint CV est-il toujours un bon critère de recrutement ? Quels avantages apportent son utilisation et quelles sont les limites à connaître ? Enfin, quelles sont les méthodes alternatives de recrutement ?
Le management d’aujourd’hui est différent du management directif traditionnel. Le supérieur n’est plus le chef autoritaire qui commande tous les gestes de ses subordonnés. Il est devenu le manager qui, au lieu de commander, motive, accompagne ses salariés et adopte une posture participative. Son but principal est de développer le potentiel de son équipe. Ainsi les salariés ont plus de liberté, ce qui favorise les résultats.
Si les entreprises disposant d’un CE procurent certains avantages à leurs salariés, tels des réductions, des chèques vacances ou encore des cadeaux de Noël, les plus petites organisations peuvent également faire preuve d’attentions à l’égard de leurs collaborateurs. Source de motivation mais pas seulement, quels sont les moyens à votre disposition ?
Dans de nombreuses petites entreprises, le dirigeant est sur tous les fronts à la fois : commercial, gestion, ressources humaines… mais pas forcément formé à la fonction RH et compétent dans ce domaine. Vous devez cependant vous montrer bienveillant à l’égard de vos collaborateurs si vous souhaitez qu’ils soient motivés. Si on pense naturellement aux primes, augmentations voire aux cadeaux pour montrer sa reconnaissance, ils sont loin d’être vos seuls leviers.
Des privilèges ou une liberté accrue
L’employeur peut mettre en place des actions, n’ayant pas de valeur pécuniaire directe, mais qui peuvent faire toute la différence. Le premier exemple pourrait être celui des RTT. Outre le nombre de jours alloués, sur lequel le dirigeant peut être plus généreux que la règle s’il le souhaite, l’entreprise peut faciliter leurs conditions d’octroi : procédure de demande simplifiée, réduction des délais pour les prendre… car il n’y a rien de plus frustrant pour un salarié qui s’investit que de se voir refuser une journée parce qu’il ne l’a pas prise dans les temps pour permettre à son employeur de l’être…
Dans la même lignée, accorder un jour exceptionnel à un collaborateur, sans qu’il en ait les droits et si cela ne pénalise pas l’organisation, peut être un signe de reconnaissance face à son engagement. Une certaine souplesse des horaires et de la présence en entreprise influe également sur la motivation de vos salariés et montre que vous pensez qu’ils sont responsables et dignes de votre confiance.
L’écoute et le partage
Un autre exemple concerne l’écoute et le partage. Prendre du temps individuellement ou collectivement avec son équipe, et pas uniquement pour parler boulot mais de tout et de rien, est essentiel. Cela passe notamment par des petits déjeuners ou déjeuners ensemble de temps à autre, la célébration de certains événements, voire des activités incentives pour dynamiser l’esprit de groupe.
Prendre du temps pour écouter vos salariés représente également une source de motivation surtout si vous appliquez ce qu’ils demandent. Ils vous confieront parfois des constats sur des tâches qui les ralentissent par exemple ou qui les ennuient et que vous pouvez parfois externaliser pour que chacun se concentre sur les plus importantes.
Mais pourquoi être un dirigeant attentionné ?
Tout d’abord, la bienveillance est source de développement de la motivation. A ce titre, elle est une forme de récompense du dirigeant vis-à-vis des collaborateurs face au travail accompli, et moyen de les inciter à s’investir plus, sur le principe du donnant-donnant.
Ensuite, les attentions de l’employeur reflètent d’un état d’esprit général et, elles sont communicatives et donc elles favorisent la bonne ambiance. Elles rendent les salariés contents de se lever le matin pour aller travailler. Dans ce cadre, elles fidélisent. Elles sont également perçues par l’extérieur et sont des vecteurs de l’image positive de l’entreprise, notamment auprès des partenaires tels les fournisseurs qui ressentent l’humeur générale au contact des collaborateurs de l’entreprise. Elles sont aussi une source d’attrait pour des candidats à l’embauche.
Enfin et c’est peut-être le plus important : cela fait de vous une meilleure personne.
Les limites à prendre en compte
Si les actions bienveillantes sont appréciées des salariés, l’employeur doit néanmoins être vigilant à ce qu’elles ne se retournent pas contre lui. Ces attentions doivent être mises en œuvre dans un cadre, certes non rigide mais n’offrant pas trop de souplesse non plus. Aussi, le dirigeant peut essuyer des critiques sur le favoritisme si les actions ne sont pas jugées égalitaires entre les collaborateurs et donc produire l’inverse de l’effet escompté.
De plus, sans un minimum de règles, elles peuvent parfois induire des abus.
Par ailleurs, il convient de prendre en compte que les attentions de l’employeur peuvent n’avoir aucun impact sur certains collaborateurs notamment ceux pour qui l’argent représente le seul vecteur de motivation. Ils ne percevront pas les actions ou peuvent les qualifier de dépenses inutiles qu’ils préféreraient voir transformer en primes.
Toutes les études prouvent que l’ambiance au travail influe directement sur la productivité des salariés. De nombreux dirigeants se sont intéressés ces dernières années à faire en sorte qu’elle soit conviviale et que les salariés s’épanouissent au travail. Et puis, tous les employés, quel que soit leur niveau de responsabilité, contribuent au développement de l’entreprise, il serait donc dommage de ne pas allier l’utile à l’agréable. Zoom sur les bonnes pratiques qui permettent aux salariés d’apprécier leur ambiance de travail.
Dans le cadre de l’entreprise, il reste trop fréquent, pour les salariés, de s’occuper massivement de leurs affaires personnelles. Qu’il soit question de pianoter sur son Smartphone ou encore de partager des publications sur les réseaux sociaux… Autant d’habitudes qui peuvent devenir problématique sur le long terme. Mais alors, comment y remédier ?
Si les conditions de travail font souvent l’objet de polémiques au sein des entreprises, celles du management à la cool détiennent leurs propres spécificités et entraînent d’autres problématiques. Horaires, objectifs, tenues vestimentaires, participation à la stratégie et évaluation annuelle des salariés font partie des critères qui sont souvent pris en considération.