Comme tout bon leader, le manager doit gérer son équipe à la perfection. Démarche qui implique toute une chaîne d’actions, entre le planning, les tâches à effectuer et les informations à faire passer. Lorsqu’il s’agit d’annoncer les moins bonnes nouvelles, comme les licenciements, les chutes de chiffre d’affaires et les projets en retard, le manager se retrouve dans une position assez délicate. Comment rester cool et détendre l’atmosphère dans une équipe, alors que celle-ci est au bord de la crise de nerfs ? Explications.
Les employés n’aiment pas être sous la coupe d’un manager trop exigeant, qui n’arrête pas de se plaindre, qui délègue trop souvent ses tâches et surtout qui n’offre aucune appréciation positive du travail fourni. Les résultats d’une entreprise dépendent avant tout des décisions du dirigeant donc si une entreprise est peu performante, c’est le plus souvent car elle est dirigée par la mauvaise personne.
Les entrepreneurs redoutent les crises mais celles-ci reviennent souvent et font partie du paysage. Ces dernières années, les crises se multiplient et que ce soit la crise sanitaire ou la crise qui débute avec la Russie, elles ont les mêmes tendances. Quand elles surviennent, ils n’ont pas d’autre choix que d’y faire face et c’est au dirigeant que revient la lourde tâche de gérer les revirements de situation dans une atmosphère de crise. Au cours d’une période aussi délicate, il est particulièrement difficile de gérer une équipe. C’est dans son aptitude à être efficace dans ces situations que l’on reconnaît un bon manager.
Une bonne partie des entreprises font passer des tests d’évaluation au cours d’un recrutement. Utilisés de façon systématique pour évaluer les niveaux de compétences d’une personne, ces tests peuvent être qualifiés de psychométriques.
Dans certains types d’entreprises, la hiérarchie est un concept vieillissant qui ne donne plus des résultats très satisfaisants. C’est la raison pour laquelle de plus en plus de gérants d’entreprise sortent du statut de chef hiérarchique pour devenir des managers de proximité.
La tâche principale d’un manager est de contribuer au bon fonctionnement de l’entreprise, peu importe les moyens qu’il se donne pour y parvenir. Lorsque le manager est performant, les entrepreneurs lui demandent souvent l’impossible, ce qui peut être aussi votre cas en tant que chef d’entreprise. Pourtant, parfois, il faut savoir dire non et demander à vos collaborateurs de prendre en charge une tâche, pour votre bien, mais également pour le bien de la société.
L'entretien d'évaluation est une rencontrer souvent redoutée par les salariés et un exercice difficile à mener pour les dirigeants les managers. C'est une tâche de réelle diplomatie pour que cet entretien devienne une valeur ajoutée aussi bien pour l'entreprise que pour les salariés. C'est un moment porteur d'espoir pour regarder l'avenir et dresser de nouvelles perspectives. Toute entreprise peut mettre en place un entretien d’évaluation (EAE) pour faire un bilan sur les compétences professionnelles et sur l'activité des salariés. Cette évaluation annuelle est l'occasion de faire le point sur leurs performances, sur la réalisation des objectifs fixés et les attentes sur l'année à venir.
La crise sanitaire et ses conséquences, la digitalisation, l’intelligence artificielle et les réseaux sociaux imposent aux entreprises de se réinventer mais surtout de penser que rien n'est figé et que tout peut être remis en cause. Et les domaines de la gestion interne et du management n’échappent pas à la règle. Aujourd’hui, pour casser les codes, il faut aussi faire de sa boîte un lieu où les choses se passent différemment qu’ailleurs et qu’autrefois pour les employés.
La nouvelle génération appelée aussi les millennials ou génération Y est perçue comme une génération dont les habitudes tranchent avec les générations précédentes. Leurs différences de comportement et de conception s’affichent dans tous les domaines et entre autres dans le domaine du marketing et du recrutement.
Jeune ou adulte, femme ou homme, tout le monde est aujourd’hui présent sur les réseaux sociaux, et les salariés des entreprises n’y font pas exception. Certains managers vivent mal le fait que les salariés utilisent ces plateformes, de peur qu’ils divulguent des informations délicates sur l’entreprise.