Les entreprises en étaient venues à appliquer de manière routinière des mécanismes et des stratégies et faisaient le business des entreprises de communication qui avaient à leur actif de nombreuses références et réussites à présenter. Des sondages et des baromètres récents mettent en exergue que la crise sanitaire, la guerre et la crise de l’énergie et l’impact de la crise climatique ont mis en difficultés le management t l’ont contraint à se remettre en question. Le climat de confiance, la cohésion des équipes ont demandé aux dirigeants beaucoup d'investissements car avec le télétravail, les personnes malades, les restaurants et les cafés fermés ont obligé à remettre en question toutes les stratégies si bien rodées et aujourd’hui le bouleversement énergétique.
Recruter signifie se développer mais à la condition de recruter la personne adéquate au va vous apporter une valeur ajoutée. Mais attention, recruter en respectant les obligations légales. Aucun salarié ne peut être discriminé au travail en matière d'embauche, de formation, de salaire.... Il que cela soit la discrimination raciste, sexiste, homophobe, par l'âge ou selon l'état de santé. Et pourtant l’âge est un critère de recrutement bien réel dans le monde du travail car il semble correspondre à des attentes différentes : innovation, expertise, rémunération, flexibilité, adaptation au changement….
Embaucher un collaborateur « jeune », « senior », « expert », n’est guère le plus souvent dans une volonté de discrimination mais d’avoir le profil qui correspond aux besoins de l’entreprise. Profil comparé des novices et des experts et des raisons d’embaucher un profil plutôt qu’un autre.
Le débutant
Il coûte donc moins cher, est dynamique, emmagasine un maximum d’informations, s’adapte facilement et est malléable. Voilà le profil idéal du novice, tel que le perçoivent certains recruteurs. Il peut néanmoins s’avérer têtu, puéril, rechignant à certaines directives et manquant d’implication.
Tout droit sorti des bancs de l’école, le novice, ses diplômes en poche, se lance ambitieusement sur le marché de l’emploi, sans avoir forcément conscience de la dureté de celui-ci. Naïf, il rêve de responsabilités et de pouvoir, d’une rémunération au niveau de sa formation, et d’un temps de travail lui permettant de combler toutes ses envies de loisirs. Dans ce cadre, il déchante très vite lorsqu’il prend connaissance des caractéristiques des offres disponibles, que le recruteur lui explique en entretien qu’il va falloir faire ses preuves et avoir quelques années d’expérience derrière lui pour atteindre le niveau de salaire auquel il prétend, ou encore qu’il faille faire des concessions et savoir se rendre disponible. La chute peut donc s’avérer rude et donne une autre réalité au terrain.
Ainsi, le débutant, appartenant à la génération dite Y, est plus volatile, difficile à fidéliser dans le temps, et peut rapidement mettre un terme à son contrat, saisissant la moindre opportunité de voir si l’herbe est plus verte ailleurs.
L’expert
L’expert quant à lui, dont l’expérience n’est plus à faire, maîtrise parfaitement sa mission et les codes du monde du travail. Il est même parfois la mémoire de l’entreprise, et celui dont on consulte l’avis avant de prendre toute décision.
Néanmoins, il présente les grands inconvénients de coûter plus cher à l’employeur et de ne pas toujours être flexible face aux changements, en matière de nouvelles technologies par exemple. Aussi, parfois ses compétences et sa parole sage au service de l’entreprise agacent, et il arrive que l’on ne le regarde plus.
L’expert est donc plus fidèle, mais résolu, et ce car il a d’autant plus conscience de la réalité du marché, où beaucoup le considère comme has-been parfois dès l’âge de 40 ans ! Avec le sentiment d’être souvent sur un siège éjectable, nombreuses de ses attentes vis-à-vis de l’entreprise se sont estompées.
Quelle politique de recrutement ?
Ces profils dressés par des sociologues, dont certains traits semblent poussés à la caricature, peuvent faire sourire. Et pourtant, ils sont une dure réalité du terrain à laquelle sont aussi bien confrontés les salariés que les recruteurs. Quel choix opérer donc ? Certaines entreprises favorisent l’emploi des jeunes mais dépensent plus de temps et d’argent en recrutement, et perdent souvent certaines compétences inestimables voire parfois l’âme de leur organisation. Tandis que d’autres optent pour un savoir-faire fiable, faisant barrage aux novices qui peuvent cependant apporter beaucoup sur le plan de l’innovation.
Il n’est pas évident de déterminer sa politique de recrutement mais trois facteurs semblent devoir jouer. Le coût premièrement, qui reste l’un des critères majeurs notamment en termes de compétitivité. Le second ensuite, qui concerne l’esprit de l’entreprise. Les embauches doivent pouvoir s’intégrer dans la culture de l’organisation et en être le reflet, les salariés étant porteur de l’image de celle-ci auprès de l’extérieur. Enfin, la sauvegarde de la compétence et du savoir-faire est indéniable, mais néanmoins pas suffisamment prise en compte. Ainsi, quand l’on parle de politique de recrutement basée sur la diversité, il s’agit de tirer bénéfice de toutes les différences, dont celles de l’âge. Et il convient de rappeler que la relation entre employeurs et salariés résulte d’un compromis de part et d’autre, où les managers doivent aussi s’adapter à leurs collaborateurs. Embaucher un collaborateur « jeune », « senior », « expert », n’est guère le plus souvent dans une volonté de discrimination mais d’avoir le profil qui correspond aux besoins de l’entreprise. Profil comparé des novices et des experts et des raisons d’embaucher un profil plutôt qu’un autre.
Les tests de personnalité sont souvent décriés et par les candidats et par les entreprises qui recrutent. Pourtant, ils continuent avoir le vent en poupe car il s’agit pour les entreprises de choisir celle ou celui qui sera un atout pour l’entreprise.
Le feedback c’est en fait la volonté d’écouter en dépassant ses idées reçues et préjugés ses collaborateurs. Il s’avère ne jamais être du temps perdu et pourtant nombre de dirigeants y consacrent peu de temps. Le feedback est un outil de dialogue qui permet d’harmoniser les équipes. Parfois, il est toujours bon de se remettre en question, afin de connaître où nous allons et de savoir si nous empruntons le meilleur chemin. Plus concrètement, l’on ne peut pas avancer dans un brouillard épais sans repères ni guides.
Prendre la bonne décision, telle est la mission du dirigeant. Beaucoup de problèmes de parcours peuvent survenir. Ces soucis concernent à la fois le management, les finances et les rapports entre les différents pôles impliqués dans une entreprise. Néanmoins, il faut savoir rebondir et s’ajuster à toutes les situations délicates pour pouvoir s’en sortir. Quels sont les problèmes les plus fréquents que peut rencontrer une start-up ? Et quelle est la décision à prendre dans ces cas-là ?
En pleine période de crise de l’énergie, de la guerre en Ukraine et des intempéries, il n’est pas rare que le chef d’entreprise éprouve, lui aussi, un sentiment de peur et d’inquiétude. Cela peut concerner autant les perspectives de l’entreprise qui peut voir son carnet de commandes se réduire à une peau de chagrin que pour la santé de ses employés. La peur pouvant être rapidement communicative, il faut cependant qu’il reste maître de ses émotions et analyse la situation avec objectivité.
Nombre d’entreprises sont devenues internationales et accueillent des étrangers au niveau de langue française très différents et certains même ne se sont pas capables de pouvoir lire notre langue. Cette diversité culturelle des équipes et les dangers inhérents à nombre d’entreprises conduisent les entreprises à manager grâce à un management visuel. Il s’agit de transmettre un message qui se veut universel. Il en est de même du management des valeurs et des objectifs. Zoom sur le management visuel.
La culture d’entreprise fait partie de l’histoire d’une entreprise qui va parfois dès le début de sa création imposer des valeurs, un style et parfois décider pour mieux répondre à la cohésion des équipes, attirer les talents ou pour développer sa notoriété d’en faire le socle de sa stratégie. Le palmarès Great Place To Work® met en exergue les efforts mis en place par les entreprises pour créer une culture de confiance qui engendre performance, satisfaction des clients, recrutements de talents et implication des salariés. Même si les entreprises ont la même activité, elles sont pourtant différentes et uniques par leur culture, et ce principe s’applique à toutes les organisations quel que soit leur secteur d’activité ou leur taille. Qu’appelle-t-on culture d’entreprise ? En quoi est-elle si importante ? Eléments de réponse.
Une entreprise peut être confrontée à une situation de crise qui était même impensable quelques mois plus tôt et qui faisait jusque-là partie des scénarios catastrophes qui font le terreau des films d’action ou des thrillers.
Que ce soit dans la création d’une entreprise, que ce soit dans le management d’une équipe, nombre de personnes se rassurent si elles ont la main et le contrôle sur tout. Elles ont du mal à faire confiance et ne croient pas dans le potentiel des autres et souvent elles ont peur de scier la branche sur laquelle elles étaient assises même si la position était inconfortable. Les dirigeants sont souvent la tête dans le guidon et n’ont le temps que de se consacrer à des tâches opérationnelles. Problème : la société dépend d’eux et ils ne peuvent plus s’absenter, même pour prendre des vacances. Voici quelques conseils pour éviter que votre société ne dépende plus de vous.