Une entreprise est composée de toutes les générations et elle intègre au fur et à mesure de son développement « la jeunesse ». Certains la regardent en portant un jugement mais surtout se focalisent sur la comparaison avec leur propre jeunesse même s’ils ont parfois à peine dix ans d’écart.
Lorsqu’on est entrepreneur et surtout quand on travaille de chez soi, on a tendance à négliger son environnement direct. Non seulement, il peut nous miner le moral car tout semble « sans dessus dessous » mais il serait également établi que la majorité de notre temps de travail servirait à la gestion de l’environnement de travail avec préparation, tri des documents, classement, rédaction… Alors autant ne pas négliger celui-ci.
Les plus célèbres divinités grecques prennent le statut d’entrepreneurs le temps de deux pages. Agissant chacun dans des domaines divers et variés, ils affichent tous des caractères différents qui en font, si on les imagine en tant que dirigeants, des créateurs d’entreprise particuliers. Laissez parler votre imagination…
Être perfectionniste est une réponse souvent donnée lors les entretiens de recrutement à la question « quel est votre plus grand défaut ? » pour pouvoir conquérir son interlocuteur. En entrepreneuriat, le perfectionnisme peut apparaître comme contreproductif car dans ce monde de l’immédiateté, il faut parfois ne pas l’être afin d’être le premier à répondre. Zoom sur les raisons de considérer le perfectionnisme à sa juste valeur.
Tout le monde cherche le bonheur ou le bien-être. Bonheur ou bien-être riment souvent avec épanouissement professionnel, puisque non seulement vous passez plus de temps au travail qu’avec votre famille, mais votre humeur quotidienne au sein de votre vie familiale est souvent liée à votre journée au bureau.
Ces deux statuts n’engendrent pas les mêmes obligations aussi bien pour le salarié que pour l’employeur. Ils génèrent le fait d’avoir ou de ne pas avoir de lien de subordination c’est-à-dire un lien par lequel l’employeur exerce son pouvoir de direction sur l’employé : pouvoir de donner des ordres, d’en contrôler l’exécution et de sanctionner la mauvaise exécution des ordres. Zoom sur ces deux statuts.
Il est souvent évoqué les obligations du salarié envers son employeur mais l'employeur est lui aussi doit répondre à nombre d'obligations envers son salarié. Ces obligations imposées par la loi peuvent être complétées par celles contenues dans les clauses du contrat de travail qui sont parfois liées aux conventions collectives du secteur par exemple.
La clause de non-concurrence est loin d’être le centre d’intérêt d’un dirigeant qui recrute un collaborateur et il en est de même pour celui-ci qui est recruté. Mais aujourd’hui, le monde de l’entrepreneuriat a ouvert ses portes à nombre de salariés qui veulent s’y intégrer et parfois utiliser leur expérience, leur savoir-faire acquis au sein d’une entreprise et qui de plus constate les failles de leur entreprise et veulent réussir là où peut-être l’entreprise n’a pas saisi une ou des opportunités dans ce marché mouvant. Il est donc fondamental de connaître les arcanes de la clause de non-concurrence.
Le dirigeant, le regard tourné vers les préoccupations de la vie intense de l’entreprise ou vers les enjeux de l’avenir ne songe guère aux difficultés qui peuvent se présenter au moment où il s’y attend le moins et conduire son entreprise dans une impasse faute d’avoir anticipé. Dans ce monde qui ne cesse de connaître des bouleversements, il est absolument nécessaire de penser à la protection des collaborateurs et de l’entrepreneur.
Lorsque vous êtes entrepreneur, il n’est pas rare de se projeter dans l’avenir et de s’engager par optimisme mais sans en mesurer la portée. Il est ainsi tentant de penser que vous allez réussir à faire des tâches dans des délais records et d’être amené à être en retard sur vos objectifs. Il s’agit pourtant d’une mauvaise pratique et il faut parfois réduire ces derniers plutôt que de vous engager à réaliser l’infaisable.