Depuis le 1er janvier 2016, l'intégralité des chefs d'entreprise, à l'exception de ceux du secteur public, ont l'obligation de proposer à leurs salariés une mutuelle santé de groupe. La complémentaire proposée doit au moins couvrir un minimum de garanties aux bénéficiaires, telles que définis par la loi, et le chef d'entreprise doit participer au moins à hauteur de 50% de la cotisation. Mais au-delà de la stricte application de la loi, quelles sont les conséquences pour un entrepreneur de la mise en œuvre d'une telle mesure? Est-ce une vraie contrainte ? Ou l'entrepreneur peut-il en tirer un avantage ?
Le CPF garantit à chaque personne le droit d’évoluer dans son parcours professionnel, grâce à un système de formation, sans pour autant devoir renoncer à son travail. L’employeur joue ainsi un rôle capital pour préserver son entreprise tout en encourageant l’ascension de ses employés.
Pour de nombreux employés et ce quel que soit le secteur d'activités et les entreprises étudiées, le salaire reste un des éléments centraux de la motivation. La rémunération importe grandement dès lors qu'il s'agit de choisir un emploi et de le conserver sur le long terme. Un salarié dont le salaire n'est pas estimé comme suffisant peut vite devenir un frein à la motivation de ce même salarié, voire pire, il peut être une véritable cause de démission. Il est donc de votre ressort, en tant que chef d'entreprise, de tout mettre en œuvre pour que vos salariés s'estiment être payés à leur juste valeur et que la rémunération qui leur revient soit suffisante et motivante.
Les contrats de prévoyance collective complètent les prestations versées par la Sécurité sociale, notamment en cas d’invalidité ou de décès d’un ou plusieurs salariés. Comment y souscrire ?
En tant qu’entrepreneur, vous constituez un pilier de l’entreprise. C’est pourquoi vous ne devez pas oublier de vous assurer à titre personnel ! Plusieurs dispositifs existent pour vous protéger. Focus sur 3 d’entre eux.
Après les tragiques attentats parisiens du 13 novembre, les entreprises ne peuvent occulter les conséquences psychologiques de tels évènements sur leurs employés. Dans ce contexte, mobiliser les énergies autour des tâches quotidiennes peut sembler difficile, voire dérisoire. Pour autant, c’est aux dirigeants de trouver la bonne attitude pour accompagner au mieux les salariés. Quelles sont donc les choses à mettre à place pour que la vie dans l’entreprise reprenne son cours ?
La vie en entreprise est rythmée par des coups de téléphone par-ci, des échanges d’e-mails par-là, le tout « agrémenté » par la fameuse pause-café, au cours de laquelle on fait un point sur les derniers retours clients, sur les partenariats en cours ou encore sur la prochaine campagne de pub qui devrait faire le buzz… Les journées passent et se ressemblent !
Lever les freins au recrutement des jeunes : c’est le pari de la CGPME Paris Ile-de-France et de ses partenaires. Trop souvent les PME repoussent une embauche, faute de temps ou de bons contacts. La solution passe donc par un accompagnement de proximité, pour faciliter, fluidifier et finalement réussir la procédure de recrutement.
Lorsque l’entrepreneur accueille des actionnaires ou shareholders, dans sa structure, ceux-ci se chargent généralement bien de lui rappeler ses objectifs de rentabilité et de profitabilité, imposant souvent une hiérarchie, des priorités bien spécifiques. Moins immédiatement perceptible, mais pourtant tout aussi cruciale, est la place à accorder aux stakeholders, aussi appelés : « parties prenantes ».
La loi "handicap" pour l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées a été votée le 11 février 2005. Les lieux recevant du public (magasins, hôtels, restaurants, cabinets médicaux, cinémas, transports etc...) devaient devenir accessibles à tous et ce quel que soit le handicap : moteur, auditif, visuel, mental. 10 ans après où en sommes-nous ? Quelles sont les nouvelles échéances ? Y-a-t-il des dérogations ?