Devenue une appellation incontournable, l’expression « Génération Y » fait référence aux jeunes gens âgés de 18 à 30 ans. Génération du millénaire, le groupe est déjà entré dans le monde du travail ou en passe d’y accéder… en cassant quelque peu les codes de l’entreprise.
Depuis quelques années, le concept d’entreprise libérée, popularisé par le documentaire « Le bonheur au travail », fait son chemin dans l’Hexagone. Son idée principale, revoir la hiérarchie pour laisser une plus grande autonomie aux salariés, séduit des entreprises très variées qui la mettent peu à peu en pratique. Quelles sont donc les entreprises qui revoient aujourd’hui leur organisation à l’aune du concept de l’entreprise libérée ?
Formation en alternance, le contrat de professionnalisation permet aux jeunes ainsi qu’aux adultes de retrouver le chemin de l’emploi. L’arrivée d’un alternant au sein de l’entreprise demande de prendre en considération un certain nombre de questions. Pour l’employeur, quelles sont les choses importantes à savoir concernant le contrat de professionnalisation ?
Les conséquences de la crise financière ont été rudes pour l’économie française, avec la disparition de 350000 emplois dans le secteur privé entre 2008 et 2013. Cependant, malgré ce climat morose, des entreprises sont parvenues à créer de l’emploi sur cette période, comme l’a prouvé une étude réalisée par Xerfi et Trendeo recensant les 500 principales sociétés créatrices d’emplois. Quelles sont donc ces entreprises qui contribuent à inverser la courbe du chômage ?
La question du handicap est trop souvent négligée dans les entreprises, en particulier au sein des TPE, celles-ci n’étant pas soumises à l’obligation légale de compter 6 % de personnes handicapées dans leurs rangs qui incombe à toutes les entreprises dépassant les vingt salariés. Cependant, la prise en compte du handicap recèle de nombreux avantages qu’il est bon de connaître. Quels bénéfices les entreprises peuvent-elles tirer en recrutant des personnes handicapées ?
Depuis le 1er janvier 2016, l'intégralité des chefs d'entreprise, à l'exception de ceux du secteur public, ont l'obligation de proposer à leurs salariés une mutuelle santé de groupe. La complémentaire proposée doit au moins couvrir un minimum de garanties aux bénéficiaires, telles que définis par la loi, et le chef d'entreprise doit participer au moins à hauteur de 50% de la cotisation. Mais au-delà de la stricte application de la loi, quelles sont les conséquences pour un entrepreneur de la mise en œuvre d'une telle mesure? Est-ce une vraie contrainte ? Ou l'entrepreneur peut-il en tirer un avantage ?
Le CPF garantit à chaque personne le droit d’évoluer dans son parcours professionnel, grâce à un système de formation, sans pour autant devoir renoncer à son travail. L’employeur joue ainsi un rôle capital pour préserver son entreprise tout en encourageant l’ascension de ses employés.
Pour de nombreux employés et ce quel que soit le secteur d'activités et les entreprises étudiées, le salaire reste un des éléments centraux de la motivation. La rémunération importe grandement dès lors qu'il s'agit de choisir un emploi et de le conserver sur le long terme. Un salarié dont le salaire n'est pas estimé comme suffisant peut vite devenir un frein à la motivation de ce même salarié, voire pire, il peut être une véritable cause de démission. Il est donc de votre ressort, en tant que chef d'entreprise, de tout mettre en œuvre pour que vos salariés s'estiment être payés à leur juste valeur et que la rémunération qui leur revient soit suffisante et motivante.
Les contrats de prévoyance collective complètent les prestations versées par la Sécurité sociale, notamment en cas d’invalidité ou de décès d’un ou plusieurs salariés. Comment y souscrire ?