Anticiper ses besoins en recrutement dès l’origine fait partie des incontournables. Les sous-estimer induit deux conséquences : le problème de la trésorerie et le problème de trouver des personnes qualifiées.
Si les entreprises ont été fortement impactées par de lourds changements souvent structurels, les attentes des collaborateurs ont changé et on ne manage plus comme il y a deux décennies. Zoom sur l’enquête de Bloom at Work, qui s’est penchée sur les nouvelles attentes à venir.
Les sondages et baromètres concernant le recrutement des jeunes diplômés mettent en exergue qu’ils sont friands des valeurs avant tout. Ils savent que travailler dans une entreprise où il fait bon évoluer est un facteur d’équilibre personnel. Conscients par les nombreux articles sur l’impact du burn out, ils font attention aux classements qui leur servent d’indicateurs et ils peuvent aussi être influencés par les buzz qui donnent une image contraire à celle présentée par certaines entreprises qui font qu’ils leur tournent le dos.
Restructuration est un mot qui porte en lui nombre d’inquiétudes et d’appréhensions des salariés car souvent elle engendre nombre de rumeurs qui portent à penser au pire et à se voir évincé de l’organigramme ou mis dans un placard. La restructuration est accompagnée souvent d’un recrutement car il s’agit d’intégrer de nouvelles compétences qui ne se trouvent pas encore au sein de l’entreprise. Mais celui-ci s’accompagne aussi de la part des collaborateurs d’une appréhension de voir le nouveau venu lui prendre sa place et à se sous-estimer car ils ne possèdent pas les compétences requises. Toute entreprise doit bien informer ses collaborateurs en amont pour qu’ils traversent ce moment en toute sérénité.
Si les entreprises sont de plus en plus nombreuses à renforcer leur politique de sécurité et confidentialité notamment depuis l’avènement du RGPD, les salariés se sentent particulièrement concernés également selon une récente étude IFOP (novembre 2019) pour IDECSI.
Tous les jours dans la presse, sur les réseaux sociaux, l’emploi et la recherche d’emploi occupent une place prépondérante. Il faut reconnaître qu’il s’agit d’une des préoccupations majeures des Français de tous âges. Pour les entreprises, l’enjeu est de taille puisqu’il s’agit d’intégrer une personne qui permettra soit d’alléger les tâches d’un collaborateur pour qu’il se consacre à des tâches à valeur ajoutée, soit pour développer un secteur face aux nouvelles opportunités du marché, soit pour apporter de nouvelles compétences qui seront dans un avenir plus ou moins proches le socle de la croissance de l’entreprise. Cette liste est loin d’être exhaustive.
Lorsque l’on recrute un salarié, il est courant de se fier à son CV et à son expérience professionnelle pour déterminer s’ils possèdent les compétences nécessaires à l’exécution de ses futures tâches. Mais voilà il arrive que deux candidats aient des compétences similaires et qu’ils vous faillent trancher entre deux profils. Comment faire quand on est presque dans l’exæquo ?
Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à mettre en place et à revendiquer le fait de pouvoir instaurer le télétravail dans leur entreprise. Pourtant, il peut paraître évident que cette pratique aille à l’encontre de l’esprit d’équipe et de la diffusion de la culture d’entreprise. Zoom sur ses raisons qui poussent les entreprises à s’en revendiquer.
Le portage salarial a connu un bel essor ces dernières années et devrait connaître un succès toujours plus grand. Les nouvelles habitudes liées au marché du travail ainsi que le développement de l'entrepreneuriat représentent un sérieux atout pour ce statut. Zoom sur les raisons du succès du portage salarial.
Les traditions ont la vie longue et se propagent parfois jusque dans nos entreprises. Selon un récent sondage, réalisé par Deskeo (bureaux flexibles en France), sur 2 200 sociétés le premier sujet de la rentrée résiderait dans la galette des rois !