Les entretiens d’embauche sont, pour beaucoup, des moments de stress et d’incertitude. Mais certains humoristes ont su, avec leur style unique, transformer ce moment...
Le monde de l’entreprise évolue à un rythme effréné, porté par des avancées technologiques et on pensera notamment à l’intelligence artificielle qui est au...
Cultiver un environnement de travail où les collaborateurs se sentent bien est souvent un désir pour les chefs d’entreprise qui aiment leurs salariés. Bonus,...
Les entretiens d’embauche traditionnels sont souvent marqués par des questions standards et des échanges bien rodés. Cependant, les candidats sont désormais bien au courant...
L'hiver est bien là avec ses températures glaciales. Or les articles L4121-1 et suivants disposent que l'employeur doit garantir la sécurité et la santé...
Aujourd’hui tous les codes sont bouleversés. Ce qui faisait l’attrait des grandes entreprises, les réseaux sociaux en ont montré la face sombre et ce sont les petites entreprises, les start up avec leurs valeurs d’innovation et de bien-être qui attirent les bons profils. Elles leur font concurrence car leurs caractéristiques ne sont-elles pas de mettre l’humain au centre ? dans un monde où l’isolement malgré les nouvelles technologies est devenu un fléau. Les dirigeants de petites entreprises pensent que leur taille est un désavantage et que la plupart des bons profils se tournent naturellement vers les grandes boîtes qui leur proposent de nombreux avantages inaccessibles aux start-ups. Mais les jeunes entreprises ont également bien des atouts pour dénicher des candidats de qualité… si jamais elles procèdent avec tact.
Un Français sur 2 est insatisfait de son salaire actuel, selon un sondage IFOP pour Salaire-brut-en-net.fr. En effet, moins d’un salarié sur quatre a bénéficié d’une augmentation de salaires en 2019 et plus d’un salarié sur deux est insatisfait du montant actuel de leur salaire. La majorité des salariés (55%) travaillant dans des entreprises privées et publiques ne sont d’ailleurs pas satisfaits de leur salaire actuel.
Si l'entreprise rencontre des périodes de haute et de basse activité, elle peut aménager les temps de travail, sur une période supérieure à la semaine et fixée au maximum à 3 ans. Durant cette période, le salarié peut être conduit à travailler plus ou moins de 35 heures par semaine, en fonction de l'activité de l'entreprise. Cependant, la mise en place de l'aménagement des horaires dépend de l’existence ou non d’un accord collectif.