Le mois dernier nous avons mis en avant que l'innovation, sujet d’actualité utilisé de manière abusive par nos politiques comme réponse à la crise, ne pouvait pas venir de nos universités car peu de jeunes choisissent cette voie aux perspectives salariales guère prometteuses et timidement reconnues par nos industries. Force est de constater que dans plusieurs domaines spécifiques notre pays regorge d’entreprises mondialement reconnues à la pointe de leur technologie. D’où, nos industriels implantés dans le monde entier, tirent leur avantage innovant pour rester compétitifs…de France ?
L'innovation est un mot de plus en plus galvaudé par le marketing politique. Celui-ci promet plus de moyens pour la recherche universitaire tout en continuant à accorder son crédit d’impôts recherche à l’industrie...L’innovation semble être la nouvelle arme contre la crise mais quelle est l’origine de cette fameuse « innovation » révolutionnaire tant attendue et son résultat réel sur l’économie ?
Certaines entreprises qui subissent un ralentissement de leurs activités n’hésitent pas à changer leur business model pour survivre. Voici quatre start-up qui réinventent leur secteur avec un business model atypique.
Un entrepreneur peut voir la mort comme une opportunité pour sa future idée de business. L’industrie funéraire est un secteur porteur qui se développe et se diversifie partout dans le monde. Les entrepreneurs créatifs peuvent offrir des services et produits créatifs pour accompagner les familles dans cette douloureuse épreuve.
NDA et ADN : deux acronymes donnant l’impression de se regarder dans le miroir sans pour autant être identiques ou opposés dans le sens. Et pourtant, ils se retrouvent pieds et poings liés pour défendre les intérêts de l’entreprise, l’un permettant d’assurer les arrières de l’autre pour que cette dernière puisse aller de l’avant et s’épanouir. Une demande d’explication s’impose…
Plusieurs aides ont été mises en place en Ile de France, afin d’encourager les entreprises à innover de façon responsable. C’est ainsi le cas de l’Aide à l’Innovation Responsable et du dispositif C2D - Opération compétitivité et développement durable en Ile-de-France.
Sur internet, le consommateur est suivi, son comportement est étudié et analysé afin d’améliorer l’expérience d’achat. Depuis peu, cela est également possible dans les points de vente physiques grâce à la solution développée et proposée par Smart Flows.
Les derniers indicateurs d’innovation de la Commission Européenne, collectés dans des enquêtes nationales normalisées (Community Innovation Survey , CIS), identifient un groupe de pays « leaders » en innovation se démarquant nettement du reste de l’Europe : la Suède, le Danemark, l’Allemagne et la Finlande. Dans ce classement, la France n’arrive malheureusement qu’à la 11ème place du second groupe de pays, baptisé « suiveurs », juste au-dessus de la moyenne européenne. Cette position est d’autant plus paradoxale que la France a une politique d’incitation à la R&D particulièrement volontaire avec notamment des outils fiscaux attractifs dédiés aux entreprises ayant une activité de R&D.
La méthode NOMEAC part du principe que l’entrée d’un produit ou d’un service sur un marché doit comporter un angle innovant pour s’imposer rapidement. En effet, on peut lancer une entreprise sans aucune innovation mais dans ce cas il faudra une force très importante en ressources (financières, humaines, de communication) pour se faire une place au milieu des concurrents. Or, dans la plupart des cas, ce sont les ressources qui manquent le plus aux nouveaux entrepreneurs. Trouver une innovation est donc obligatoire. De plus, celle-ci donne de plus grandes perspectives de développement en France et à l’international.
Nous entrons dans la « postmondialisation » : progressivement, seuls les matières premières et les produits et services d’exception s’échangent entre les grands blocs économiques. Dans ce contexte, l’innovation devient un des principaux vecteurs de compétitivité, non plus pour les entreprises, mais les nations elles-mêmes.