La dématérialisation n’est plus utopie. Elle fait partie intégrante de la vie de l’entreprise. Il est vrai qu’elle s’est imposée en peu de temps mais les dirigeants sont habitués aux bouleversements incessants depuis qu’internet est devenu notre moyen de communication mais aussi une nouvelle manière de travailler entre autres. Le concept de dématérialisation semble complexe, mais définit en réalité un processus destiné à simplifier la vie de l'entrepreneur.
Vous souhaitez désormais récolter les idées mais vous ne savez pas comment faire en dehors de la traditionnelle boîte à idées. Certains fondamentaux sont à considérer avant de vous lancer dans l’application des méthodes.
Aujourd’hui tous les codes sont bouleversés. Ce qui faisait l’attrait des grandes entreprises, les réseaux sociaux en ont montré la face sombre et ce sont les petites entreprises, les start up avec leurs valeurs d’innovation et de bien-être qui attirent les bons profils. Elles leur font concurrence car leurs caractéristiques ne sont-elles pas de mettre l’humain au centre ? dans un monde où l’isolement malgré les nouvelles technologies est devenu un fléau. Les dirigeants de petites entreprises pensent que leur taille est un désavantage et que la plupart des bons profils se tournent naturellement vers les grandes boîtes qui leur proposent de nombreux avantages inaccessibles aux start-ups. Mais les jeunes entreprises ont également bien des atouts pour dénicher des candidats de qualité… si jamais elles procèdent avec tact.
Les achats de frais généraux ou les achats hors production rassemblent des dépenses très variées : fournitures, informatique, télécoms, prestations intellectuelles, intérim, maintenance, sécurité, voyages, accueil, logistique, emballages, énergies, etc. Ces achats sont souvent « le premier poste de dépenses de l’entreprise et pourtant le moins organisé et contrôlé – du fait de sa dispersion : dispersion en familles hétérogènes d’une part et en points de consommation d’autre part ». (Xavier Leclercq, « Acheter mieux que ses concurrents », p.99)
Si l'entreprise rencontre des périodes de haute et de basse activité, elle peut aménager les temps de travail, sur une période supérieure à la semaine et fixée au maximum à 3 ans. Durant cette période, le salarié peut être conduit à travailler plus ou moins de 35 heures par semaine, en fonction de l'activité de l'entreprise. Cependant, la mise en place de l'aménagement des horaires dépend de l’existence ou non d’un accord collectif.
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En fin d’année, les entreprises organisent souvent un pot ou une soirée. L’organisation d’un tel évènement ne doit aucunement faire l’objet de négligence, l’entreprise restant soumise à une obligation générale de sécurité. Le chef d’entreprise doit prendre les mesures nécessaires pour éviter que cette soirée ne tourne au cauchemar.
Il est temps de cesser d’être esclave de votre téléphone ! Cette petite merveille qui tient dans votre poche et qui nous permet d’être connecté au monde 24/24h doit être domptée pour ne pas devenir totalement ingérable !