CATÉGORIE

En général

L’entrepreneuriat est-il une valeur universelle ?

L'entrepreneuriat est souvent considéré comme intrinsèque à l'être humain. Ce dernier possède au plus profond de lui-même les ressources pour modifier son environnement, améliorer sa condition et donc prospérer. Au plan philosophique, il n'est pas faux de considérer que tout être humain est sous une forme ou une autre un entrepreneur. Cette universalité de l'entrepreneuriat est si puissante qu'elle finit même par s'imposer comme une évidence pour des régimes politiques idéologiquement opposés à toute propriété privée des moyens de production.

Le comportement éthique, une nouvelle tendance

Le Baromètre Climat Éthique dans les grandes entreprises nous révélait dès 2018 que 77% des salariés interrogés constatent une évolution positive des comportements éthiques, déontologiques de leur entreprise. 53% des salariés avaient été sensibilisés à l’éthique et à la déontologie au cours des 12 derniers mois et cette tendance est loin de s’être inversée. Le comportement éthique serait-il enfin une tendance qui s’impose dans les entreprises ?

Le développement durable au sein des entreprises

Le développement durable n'est plus une option pour les entreprises. Il s'avère indispensable pour les entreprises de montrer l'exemple dans le tourbillon actuel. Quelle action les entreprises peuvent-elles mener ?

L’éco-conception : une démarche transversale

Tout produit ou service est source d’impact sur notre environnement. Adopter l’éco-conception va diminuer ces impacts négatifs et peut contribuer grandement à respecter l’environnement. Pour cela, il faut déjà comprendre que cela n'entraîne pas forcément contrainte, ni lourdeur, mais peut influer une belle place à l’innovation et à la créativité !

La responsabilité sociale des créateurs d’entreprise

En France, la responsabilité sociale des entreprises a été longtemps un mensonge. Que ce soit un mensonge adressé aux clients, pour inspirer leur sympathie – ou un mensonge adressé aux employés, pour susciter leur engagement. Sur ce sujet, comme sur bien d’autres, on ment car on n’ose dire la vérité : beaucoup trop d’entreprises ne s’intéressent à leur responsabilité sociale que quand leur irresponsabilité est devenue trop visible. Une différence bien visible dans les livres Cette absence d’intérêt est d’autant plus surprenante que la majorité des livres sur l’entrepreneuriat consacrent quelques pages à ce sujet. Ainsi, la majorité des livres écrits par des Américains sur la création d’entreprise comprend une partie « morale », à l’inverse des ouvrages écrits par des Français, qui sont souvent plus terre à terre. Un paradoxe apparent, dans la mesure où nous nous représentons souvent les entrepreneurs américains comme à la fois plus pragmatiques et plus mercantiles que nous. Bien pire, un lecteur français pourrait être irrité de lire, dans un ouvrage sur l’entrepreneuriat, un sermon sur la responsabilité sociale de l’entrepreneur. Pourtant, les ouvrages de Guy Kawazaki, par exemple, sont régulièrement agrémentés de réflexions sur la nécessité d’être un « Mensch », de ne s’engager dans des aventures que si elles sont destinées à apporter quelque chose de nécessaire à l’humanité. Même les auteurs les moins suspects de philanthropie, comme Timothy Ferriss, l’auteur de « The 4-Hour WorkWeek », conclut son ouvrage par une exhortation à pratiquer le bénévolat social, caritatif et humanitaire. Américains contre Français Cette morale de l’entrepreneur peut avoir deux raisons : l’utilité ou les principes. Et elle peut avoir trois formes : simple affichage, mode opératoire au quotidien, ou fin dernière de l’entreprise. Ce qui nous donne six combinaisons. Les deux combinaisons qui semblent intéresser les auteurs américains sont : la moralité comme fin dernière pour l’entreprise, par utilité – et la moralité comme fin dernière de l’entreprise, par principe. Détaillons ces deux positions. Guy Kawasaki, notamment, défend alternativement les deux positions. D’un côté, il soutient que l’entrepreneur ne doit s’engager qu’au nom de grands principes : redresser un tort, apporter un bénéfice réel à l’humanité ou sauvegarder quelque chose de précieux. Et il justifie cela en suggérant que la création d’entreprise est une chose si ardue que l’appât du gain ne peut être son seul moteur car, très rapidement, la lenteur et les ratés du projet ne manqueraient pas d’imposer à l’entrepreneur de lâcher l’affaire. En gros, pour tenir, il faut se raccrocher à un idéal. C’est une justification par l’utilité directe. Kawasaki exhorte aussi l’entrepreneur à être un « Mensch », c’est-à-dire un être de principe, notamment en contribuant à rendre à la communauté ce qu’elle apporte, de manière diffuse, à l’entrepreneur. Il faut intervenir dans des écoles, donner de son temps gracieusement à l’écosystème. Là encore, c’est une justification par l’utilité. Mais cette utilité est plus indirecte : l’entrepreneur, en étant un membre bénéfique de la communauté, doit donner – il ne sait pas ce qu’il reçoit, mais il sait qu’il reçoit quelque chose en retour. Contre la culture des résultats, la culture des principes Enfin, il existe une troisième forme de justification de cette responsabilité, qui relève d’une forme très indirecte d’utilité : dans la journée de l’entrepreneur, beaucoup de choses peuvent échapper à son contrôle. Or, si les résultats de nos actions nous échappent souvent, car ils sont des coproductions de nos choix et de l’environnement dans lequel ils prennent place, nos principes nous échappent peu : ils sont leurs propres fins, ils ne dépendent pas de leurs résultats. En ce sens, agir en fonction de principes, c’est l’assurance d’avoir, chaque jour, au moins quelques actes qui n’échappent pas à notre contrôle. En un sens, agir par principe revient toujours à agir par utilité – car les principes nous sont utiles pour renforcer notre confiance en nous-mêmes, et garder à l’esprit l’immense privilège de l’entrepreneur, de pouvoir imposer ses règles et ses principes au monde. Ou de mourir en essayant de le faire. Cette question de la responsabilité sociale de l’entreprise doit s’imposer au créateur d’entreprise : les startups sont certes des structures temporaires. Mais, bien souvent, les premières décisions prises à la création de l’entreprise vont dessiner la culture qui l’animera longtemps - y compris quand elle quittera cette première phase exploratoire pour industrialiser ses manières de procéder. En France, la responsabilité sociale des entreprises a été longtemps un mensonge. Que ce soit un mensonge adressé aux clients, pour inspirer leur sympathie – ou un mensonge adressé aux employés, pour susciter leur engagement. Sur ce sujet, comme sur bien d’autres, on ment car on n’ose dire la vérité : beaucoup trop d’entreprises ne s’intéressent à leur responsabilité sociale que quand leur irresponsabilité est devenue trop visible.

Comment rester éthique lorsqu’on ne fabrique pas en France ?

Depuis la vague de « Made in France » avec Arnaud Montebourg en marinière, fabriquer en France est devenu un acte patriote. Les marques l’ont bien compris : beaucoup mettent maintenant en avant leurs produits ou la petite partie de leur production qui est fabriquée sur le territoire. Mais il faut bien l’avouer, le « Made in France » reste parfois un idéal très inaccessible pour de nombreuses entreprises.

Comment être écolo et économe au bureau ?

Votre ordinateur est certes indispensable à votre travail mais ce n’est pas le seul outil que vous utilisez dans le cadre professionnel. Comme beaucoup de salariés et dirigeants, il arrive de devoir prendre des notes, retranscrire une réunion, envoyer du courrier, classer des documents… Toutes ces actions impliquent d’avoir recours à des fournitures de bureau : stylos, bloc-notes, enveloppes… que vous rangez dans votre tiroir ou emmenez avec vous dans votre sac. Rassurez-vous il est possible tout de même de réduire votre impact écologique.

Le tri des déchets au bureau, la donne à appliquer

Le tri des déchets pour une entreprise et ses collaborateurs est la mise en évidence de l'intérêt que l’entreprise porte à la préservation de la planète. Si déjà les différentes couleurs de poubelles ont entraîné au fur et à mesure une modification des comportements, il est important de véhiculer un nouvel état d’esprit.

Des actualités 2022 qui ne cesseront de s’adapter

L'année 2021 a été riche en prévisions pessimistes. Les actualités ne cessent d'être focalisées sur la crise sanitaire. Pourtant, les entreprises n'ont cessé de s'adapter en 2021 et continueront à le faire pour surmonter les vagues imprévues. Focus sur quelques actualités essentielles.

Les entreprises et leurs achats responsables 

Dans une volonté de politique RSE, les entreprises se focalisent sur les moyens d’optimiser leurs actions environnementales et sociétales. Au sein de celles-ci, l’amélioration passe évidemment par les achats réalisés et les prestations demandées pour l’entreprise. Pour développer une politique RSE, il faut pratiquer des achats responsables et ce mouvement devient un enjeu majeur dans toutes les entreprises. L’environnement et le social préoccupent tout le monde désormais !

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