Parmi les industries les plus polluantes au monde figure en tête de liste le secteur textile . La mode se classe au deuxième rang de la pollution mondiale par son activité. Des grandes marques comme H&M et Zara changent leur collection en magasin toutes les deux semaines, et créent ainsi une surproduction qui impacte la planète et ses ressources. Pour devenir éco-responsable, les grandes marques du textile ont déclaré s’engager auprès du Global Fashion Agenda dès 2020.
Le nom d’une entreprise est attaché à son histoire et à ses fondateurs. Or l’évolution de l’entreprise la conduit parfois à changer de nom comme par exemple lorsqu’il s’agit de s’implanter à l’international, lors d’une fusion ou tout simplement lorsque l’activité change.
L’environnement dans lequel vous vous trouvez est concurrentiel et saturé, tous les produits se banalisent à force de benchmarker le voisin et la guerre des prix fait rage ! Il vous est impossible de dépasser vos grands concurrents et les opportunités de croissance s’amenuisent de plus en plus ! C’est ce que Kim Chan et Renée Mauborgne (auteur du livre la stratégie de l’océan bleu) appellent l’océan rouge.
Qui est apparu le premier, l’œuf ou la poule… Cette analogie pourrait être le point de réflexion sur qui dans une société naissante est le plus important entre le concepteur du produit ou le vendeur qui sera le générateur de liquidité ?
L’économie au service de tous, la rentabilité à des fins sociales ou environnementales, un management participatif, un aspect lucratif limité... un doux rêve ou l’émergence d’une nouvelle forme d’entrepreneuriat ?
Cette rentrée s’annonce toute particulière pour les entrepreneurs. Entre le risque de reconfinement, si la 4ème vague s’avère plus importante que prévue, ou encore l’apparition de nouvelles problématiques, des opportunités qui se présentent, force est de constater qu’ils auront beaucoup à faire s’ils ne veulent pas rater le train de la réussite. Zoom sur certains enjeux et problématiques qui vont avoir l’attention des dirigeants.
La valeur et le prix d’une entreprise sont deux notions distinctes qui prêtent souvent à confusion dans l’esprit des repreneurs et des cédants. Un certain nombre de « grands penseurs » se sont penchés sur ces deux concepts, et leurs citations nous donnent matière à réflexion.
Les licornes, ce terme symbolique dans la littérature et l’art, désignent les start-up et l’émergence de celle-ci dans le Top des entreprises. Pour être une licorne, une start-up doit être valorisée à hauteur de 1 milliard de dollars. En Europe, elles commencent à prendre une place qui n’est guère neutre et à s’imposer face aux Américaines. La France est aujourd'hui en train d'occuper une place non négligeable avec ses 18 licornes. En quelques années, elle s'impose avec des entreprises innovantes.
Pour arracher leur place sur le marché, les entreprises se spécialisent désormais dans des domaines insolites et inattendus. Plus encore, on voit de plus en plus de start-up qui orientent leur activité vers le tabou : le sexe, la mort, etc. Comment ces entreprises osent-elles s’aventurer dans ces secteurs, pour le moins controversés ?
Se lancer dans l’entreprenariat ne nécessite pas d’être mature et avoir plus de 30 ans. Certains grands créateurs n’étaient même pas encore trentenaires lors de la création de leur entreprise. À l’image de Mark Zuckerberg qui avait seulement 19 ans lors de la création de Facebook, ou encore Larry Page et Sergey Brin qui venaient tout juste de compter 23 printemps au tout début de Google. L’entreprenariat n’arrête pas les plus jeunes et ils sont désormais nombreux à se lancer.