Le lapsus en entreprise, un sujet tabou

Les lapsus de l’année des hommes politiques, des animateurs de journaux télévisés, des artistes pour ne citer qu’eux font en général en fin d’année ou en début d’année l’occasion de réaliser dans les médias un bêtisier et parfois, ils font partie des bêtisiers classiques que les médias diffusent plusieurs années de suite. pour celle ou celui qui se voit repasser en boucle, c’est toujours un moment fort désagréable.

Le lapsus, une fois énoncé reste dans les mémoires et dans certaines circonstances des personnes en général mal intentionnées le font revivre et il semble vous poursuivre. Contrairement à ce qu’on peut croire, les dirigeants de société et les managers ne peuvent pas forcément maîtriser l’art du discours qui représente pourtant un caractère usuel en entreprise. Très fréquent, le lapsus en entreprise demeure un sujet tabou. Le monde de l’entreprise tente tant bien que mal de conserver son secret et d’éviter tout risque de médiatisation. Ce n’est malheureusement pas le cas dans le monde politique où la moindre erreur d’expression pourrait provoquer la polémique.

Le lapsus en entreprise : un sens caché 

Trébucher dans son discours peut arriver à n’importe qui. La situation s’avère beaucoup plus embarrassante lorsque le lapsus vient d’un manager ou d’un collègue lors d’un discours officiel devant tout le personnel, ses supérieurs hiérarchiques et les représentants des partenaires de l’entreprise. Le lapsus constitue uniquement la face cachée des choses, il n’est pas toujours révélateur. Celui qui l’a commis reste le seul qui peut connaître sa véritable signification. Il convient d’éviter toute interprétation hasardeuse qui risque de vexer non seulement l’auteur, mais tous les auditeurs témoins du lapsus.

Les principaux facteurs et les effets du lapsus

Si certains considèrent le lapsus comme une réaction générée par le stress et la peur de s’exprimer devant un public, d’autres avancent la théorie de la mécanique inconsciente. Le lapsus proviendrait d’une « confusion » mécanique des sons. Très embarrassant, il provoque une sensation de honte ou de malaise. Différents moyens permettent de le surmonter. 

Lapsus en entreprise : que dire ? Que faire ?

Le calme précède la tempête, après le lapsus, le silence s’impose. Indispensable et très bénéfique pour les deux parties (auditeurs et orateurs), le silence leur procure un temps de réflexion afin d’éviter d’envenimer le dérapage du discours.

– Laisser le public réagir

Difficile de déterminer la réaction du public face à un lapsus, mais dans la majorité des cas, il éclate de rire. Il faut leur laisser le temps de réagir et mâcher ses mots avant de continuer pour éviter d’aggraver la situation. À défaut de marquer une pause, il convient d’accélérer le discours pour passer à autre chose. Certes, le public s’en souviendra, mais au moins les conséquences demeureront moindres. 

– L’humour en soi

L’autodérision constitue une arme redoutable permettant d’esquiver les moqueries du public. Assimiler ses faits et gestes demeure la meilleure solution pour éviter l’embarras. Pour cela, l’orateur peut apostropher ses auditeurs en surlignant son écart de langage et avançant certaines répliques : « Dites-moi que je n’ai pas dit ce que vous venez d’entendre »… Cela permet, non seulement de soulager l’auteur du lapsus, mais surtout de détendre l’atmosphère vexante qui risquerait de s’établir auprès des auditeurs.

– S’expliquer sans se vexer

Les auditeurs savent que celui ou celle qui s’exprime devant eux représente un individu compétent doté d’une expérience non négligeable. En cas d’erreur, il peut reconnaître sa faute en essayant de fournir des explications rationnelles malgré que le lapsus échappe au locuteur et à sa rationalité. Ainsi, il enrichit la communication entre les deux parties. Aussi, certains lapsus méritent des explications pour limiter les déceptions du public. Même s’il s’agit d’une erreur parfois absurde, l’orateur doit montrer à ses auditeurs qu’il maitrise l’art du discours en évitant de dissimuler ses erreurs.

Le lapsus, une fois énoncé reste dans les mémoires et dans certaines
circonstances des personnes en général mal intentionnées le font revivre
et il semble vous poursuivre. Contrairement à ce qu’on peut croire, les dirigeants de société et les managers ne peuvent pas forcément maîtriser l’art du discours qui représente pourtant un caractère usuel en entreprise. Très fréquent, le lapsus en entreprise demeure un sujet tabou. Le monde de l’entreprise tente tant bien que mal de conserver son secret et d’éviter tout risque de médiatisation. Ce n’est malheureusement pas le cas dans le monde politique où la moindre erreur d’expression pourrait provoquer la polémique.

Le lapsus en entreprise : un sens caché 

Trébucher dans son discours peut arriver à n’importe qui. La situation s’avère beaucoup plus embarrassante lorsque le lapsus vient d’un manager ou d’un collègue lors d’un discours officiel devant tout le personnel, ses supérieurs hiérarchiques et les représentants des partenaires de l’entreprise. Le lapsus constitue uniquement la face cachée des choses, il n’est pas toujours révélateur. Celui qui l’a commis reste le seul qui peut connaître sa véritable signification. Il convient d’éviter toute interprétation hasardeuse qui risque de vexer non seulement l’auteur, mais tous les auditeurs témoins du lapsus.

Les principaux facteurs et les effets du lapsus

Si certains considèrent le lapsus comme une réaction générée par le stress et la peur de s’exprimer devant un public, d’autres avancent la théorie de la mécanique inconsciente. Le lapsus proviendrait d’une « confusion » mécanique des sons. Très embarrassant, il provoque une sensation de honte ou de malaise. Différents moyens permettent de le surmonter. 

Lapsus en entreprise : que dire ? Que faire ?

Le calme précède la tempête, après le lapsus, le silence s’impose. Indispensable et très bénéfique pour les deux parties (auditeurs et orateurs), le silence leur procure un temps de réflexion afin d’éviter d’envenimer le dérapage du discours.

– Laisser le public réagir

Difficile de déterminer la réaction du public face à un lapsus, mais dans la majorité des cas, il éclate de rire. Il faut leur laisser le temps de réagir et mâcher ses mots avant de continuer pour éviter d’aggraver la situation. À défaut de marquer une pause, il convient d’accélérer le discours pour passer à autre chose. Certes, le public s’en souviendra, mais au moins les conséquences demeureront moindres. 

– L’humour en soi

L’autodérision constitue une arme redoutable permettant d’esquiver les moqueries du public. Assimiler ses faits et gestes demeure la meilleure solution pour éviter l’embarras. Pour cela, l’orateur peut apostropher ses auditeurs en surlignant son écart de langage et avançant certaines répliques : « Dites-moi que je n’ai pas dit ce que vous venez d’entendre »… Cela permet, non seulement de soulager l’auteur du lapsus, mais surtout de détendre l’atmosphère vexante qui risquerait de s’établir auprès des auditeurs.

– S’expliquer sans se vexer

Les auditeurs savent que celui ou celle qui s’exprime devant eux représente un individu compétent doté d’une expérience non négligeable. En cas d’erreur, il peut reconnaître sa faute en essayant de fournir des explications rationnelles malgré que le lapsus échappe au locuteur et à sa rationalité. Ainsi, il enrichit la communication entre les deux parties. Aussi, certains lapsus méritent des explications pour limiter les déceptions du public. Même s’il s’agit d’une erreur parfois absurde, l’orateur doit montrer à ses auditeurs qu’il maitrise l’art du discours en évitant de dissimuler ses erreurs.

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