Fraîchement débarquée en France, la marque japonaise, Fairydrops, suscite déjà le buzz aux quatre coins de la Planète. Alors qu’il promet des cils déployés et redimensionnés d’un simple coup de baguette magique et pour moins de 25 euros, le mascara a de quoi faire pâlir ses concurrents.
Quand une présentatrice télé se lance dans la cosmétique…
L’histoire de Fairydrops prend vie grâce à la Japonaise Aya Yasuda. Travaillant à l’époque pour une télévision locale de Los Angeles aux États-Unis, la présentatrice se lance le défi de fonder sa propre marque de maquillage. Insatisfaite de ceux déjà vendus sur le marché, elle imagine son propre mascara, celui qui répondrait à ses propres attentes en termes de rendu make up face à la caméra. Quelques mois plus tard, l’entreprise Fairydrops, qui signifie littéralement, en français, « petites gouttes de fée », était née. Un nom de marque qui suggère ce qui serait la vertu presque magique de son seul et unique produit phare, un mascara « push-up », qui apporterait un maxi volume. Grâce à son applicateur, il permettrait de donner aux cils un effet gainant en y déposant de la fibre. Huile de jojoba et autres ingrédients nourrissants et revitalisants composent ledit produit. De quoi obtenir, selon la marque, un regard de poupée, sans paquets, et dans le respect de ses cils.
De « petites gouttes de fée » à l’origine d’un buzz mondial
Composé de trois petites vagues, ce mascara à brosse épaisse qui vend du volume XXL, a rapidement suscité l’engouement au Japon. En un simple coup de baguette magique, plus de 150 millions d’exemplaires ont déjà été écoulés et, en moyenne, un mascara de la marque Fairydrops est vendu chaque minute à travers le monde. Le buzz est tel que sa fondatrice, Aya Yasuda, a décidé d’élargir sa gamme de produits pour la décliner en plusieurs références : le « platinum mascara Film Type Long Curl », axé sur la définition du regard, le « mascara Scandal Queen », qui confère un fini mat et allonge les cils, le « mascara Scandal Queen Quattro », qui allonge les cils tout en leur donnant du volume, ainsi que le « Volume Burset Mascara », l’un des plus incontournables de la marque. En plus de ces déclinaisons, la commercialisation d’eye-liners, de fards à paupières ou encore de crèmes Fairydrops a, récemment, vu le jour. Pour le moment, le mascara star reste néanmoins en tête des meilleures ventes de la marque.
Un phénomène fraîchement débarqué en France
Depuis peu, le célèbre mascara qui transforme le regard se voit commercialisé au sein de l’Hexagone. À titre d’exemple, il est vendu 24,99 euros sur le site d’Asos. Sur les réseaux sociaux, les commentaires semblent largement se ranger en faveur du produit. Reste à savoir si le mascara aura autant de succès en France qu’au Japon. Ce dernier n’est d’ailleurs pas le premier à s’être illustré sur le territoire ces derniers mois. Quelques semaines avant le buzz de Fairydrops, le fameux mascara de la marque américaine N°7, mondialement connue pour ses produits issus de recherches cliniques, faisait déjà parler de lui sur les médias sociaux. Anti-bavures, anti-paquets, waterproof et anti-humidité, le « Stay Perfect Mascara » affiche également un rapport qualité-prix fort apprécié des beauty-addicts (il est, par exemple, disponible sur le site d’Amazon pour moins de 20 euros, ndlr). Le plus ? Il se retire simplement avec de l’eau tiède et du coton ! Encore plus tôt, la marque Younique, avec son mascara en fibre 3D, faisait, elle aussi, le buzz. Pour 29 dollars (31,50 euros en France, ndlr), celle-ci proposait de recevoir un mascara standard à gel fixant ainsi qu’une brosse à fibre 3D pour le plus grand bonheur de ces dames.
L’exemple du « Mascara Cake » qui remet le vintage au goût du jour
Autre exemple plus ancien, le « Mascara Cake » de Bésame Cosmetics. Spécialisée dans le maquillage vintage, la marque a su remettre à la mode le mascara solide, populaire au début du XXème siècle. Comment cela fonctionne ? Il suffit de mouiller le pinceau puis de le tremper dans de la poudre avant de l’appliquer sur les cils. Si le fait de revenir aux méthodes ancestrales peut paraître surprenant, cela s’explique notamment par des raisons hygiéniques. Au lieu, pour un mascara classique, de laisser immerger en permanence la brosse dans le produit, celui solide permet de nettoyer le pinceau afin d’éviter de faire rentrer des bactéries dans le tube ou de faire s’agglutiner la matière. Le concept, tout comme son packaging, en a séduit plus d’un…