Les entreprises modernes misent sur l’innovation dans le web pour faire du chiffre d’affaires

Les entreprises modernes qui réussissent sont les nouvelles start-up du net. Ailleurs, dans le domaine de la recherche et de l’industrie, il existe des jeunes entrepreneurs engagés eux aussi dans la course au succès, pour être au top des challenges internationaux. Mais quel secteur d’activité est encore porteur en dehors du web?

L’ère des start-up et du savoir numérique

L’économie numérique est en plein essor et son évolution qui perdure depuis une quinzaine d’années a propulsé des nombreuses entreprises au sommet, à commencer par Google qui atteint les records avec 36,4 milliards de dollars de chiffre d’affaires (selon le classement mondial 2012 du Web marketeur). De même source, le groupe français Publicis s’affiche à la dix huitième place avec 2,19 milliards. Outre ces grandes machines qui font fortune sur le web, nous sommes entrés depuis peu, dans l’ère des start-up, ces entreprises dont l’ascension phénoménale fait le buzz d’internet : le portail web collaboratif Alkemics, le créateur de la carte sim, Matooma, OpenDataSof ou encore la société « 1001 Pharmacies » qui propose beauté et santé en ligne.
La réussite entrepreneuriale sur le web est incontestable mais difficile puisque la concurrence est encore plus redoutable qu’ailleurs. Pour retirer ses épingles du jeu, il faut avoir une parfaite maîtrise des Technologies de l’Informatique et de la Communication (TIC) ou faire appel à des spécialistes pour le développement et la fonctionnalité de son site internet ou de sa page d’accueil.

Le savoir-faire récompensé

Des dizaines de start-up sont récompensées pour leur savoir-faire ailleurs que dans le milieu l’informatique et du numérique. On peut citer en exemple la société Eligo Bioscience qui innove avec la découverte d’un nouvel antibiotique intelligent et préventif, élaboré par le jeune docteur en biologie synthétique, Xavier Duportet.
Dans le paramédical, cette fois, on peut saluer l’ingéniosité de Nicolas Huchet et sa main bionique qu’il a conçue grâce à l’impression en 3D, qui fonctionne avec des capteurs capables de réagir aux contractions musculaires.
Autre projet entrepreneurial à succès, celui de David Cohen-Tanugi qui a trouvé les moyens de dessaler l’eau à moindre coût, par l’usage du graphène (cristal bidimensionnel de carbone obtenu à partir du graphite). Entouré de chercheurs et d’industriels, le jeune entrepreneur travaille sur un prototype expérimental déjà prometteur.
Un aliment d’un genre nouveau viendra pallier certaines pénuries dans les mois à venir, avec le projet d’Antoine Hubert, d’élever des insectes en vue de les transformer en protéines alimentaires pour animaux !

Le commerce sur le net fait l’unanimité

Le secteur de la recherche est certainement source de projets innovants pour faire avancer la science et le monde. Malheureusement, faute de financements ces projets restent souvent au stade embryonnaire. En revanche, les promoteurs du web font des exploits avec l’engouement des jeunes générations pour le numérique. Les régies publicitaires sont devenues online. On ne jure que par le e-commerce pour toucher un large public d’internautes. L’enjeu est de taille, à l’heure où tous les secteurs d’activités, même celui de la santé, se font connaître ou se vendent sur le net.
Une entreprise implantée dans le circuit professionnel traditionnel est confrontée à des difficultés plus conséquentes, elle doit assumer un loyer et des charges souvent très lourdes. Celles qui dépassent le seuil des trois ans d’activités deviennent rares.

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