5 entrepreneurs qui ont la positive attitude

La positive attitude pas si facile à garder quand les vents contraires soufflent. Inspirez-vous de ces entrepreneurs qui ont su, grâce à leur moral d’acier, dépasser leurs difficultés et garder le cap dans leur entreprise. Zoom sur 5 entrepreneurs qui ont la positive attitude.

Tristan Lecomte. La persévérance à toute épreuve.

L’entrepreneur a dû patienter pas moins de 5 ans avant de faire cartonner son projet Alter Eco. En effet, enchaînant les ratés, il aurait pu cent fois abandonner et passer à un nouveau projet. Mais le jeune homme croyait dur comme fer au potentiel de son concept et n’a pas lâché jusqu’à ce que le succès soit au rendez-vous. Et il n’a pas eu tort, aujourd’hui la société fonctionne très bien et a été rachetée par un grand groupe agro-alimentaire.

Après avoir fondé et développé Alter Eco,Tristan Lecomte crée PUR Projet, dont la mission est d’assister les entreprises à régénérer les écosystèmes dont elles dépendent. Or, Tristan puise sa motivation dans son désir d’être utile à la société et sa volonté de créer une dynamique de changement positive.

Hapsatou Sy. L’esprit toujours combattif.

L’entrepreneure a dû faire face à la liquidation judiciaire de sa chaîne d’instituts de beauté Ethnicia. La jeune femme a largement communiqué sur cet échec, n’hésitant pas à parler franchement des erreurs qu’elle a pu faire. Mais elle n’a pas pour autant baissé les bras et a tout de suite préparé son rebond : l’entrepreneure a enchaîné avec le développement de ses quatre marques de produits de beauté et maquillage en France et à l’étranger.

L’année 2017 est marquée par la sortie de son premier livre « Partie de rien » aux éditions Dunod. En 2018 elle fait la couverture du magazine Management.

« L’impossible n’existe que par les limites que nous nous imposons. Je n’ai pas de limite à l’accomplissement de mes rêves. »

Denys Chalumeau. La volonté farouche de sauver ses salariés.

Le fondateur des géants Seloger et Promovacances a connu une success story truffée de nombreuses difficultés. Le 11 septembre 2001, il voit le business de Promovacances s’effondrer en même temps que les deux tours du Wall Trade Center. Ainsi, son entreprise qui, quelques semaines plus tôt, était valorisée plusieurs centaines de millions doit être revendue en urgence pour un euro symbolique.
L’entrepreneur le vit comme un gros échec personnel mais ne se laisse pas abattre pour sauver à tout prix son équipe. Il a finalement réussi à remonter la pente et à faire de Seloger une des plus grandes réussites du Web français.

« Je conseille de rencontrer beaucoup de monde car cela participe à la veille. Chaque rencontre peut apporter un message, une opportunité, une clef de business à développer ou de développement à laquelle on n’avait pas pensé. Je reste personnellement très attentif à tous les messages que l’univers m’envoie : cela peut être les e-mails que je reçois, les gens que je rencontre, des choses que j’observe dans le train. J’ai une partie de mon cerveau qui reste avec cette croyance que les solutions arrivent surtout quand j’ai un problème et que je suis dans une impasse.« propos recueillis  par Dynamique

Nicolas Doucerain. Témoigner pour aider les autres.

Le dirigeant de Solic a dû faire face aux conséquences désastreuses de la crise financière sur son entreprise en 2008. S’en est suivie pour lui une période extrêmement difficile où il a dû se battre sur tous les fronts pour sauver sa boîte de la faillite.
Notamment, l’harcèlement des banquiers, la nécessité de fermer des bureaux et de licencier, la bataille juridique… l’entrepreneur est passé par une phase d’intenses difficultés. Après avoir réussi à relever son entreprise, il a rebondi en écrivant son histoire dans un livre qui a connu un beau succès : Ma petite entreprise a connu la crise.

Son slogan : ‘être entrepreneur c’est finir par réussir à force de ne jamais abandonner ».

Steve Jobs. La passion malgré tout.

L’entrepreneur a réussi à porter son entreprise et à innover sans cesse lorsqu’il a fait face à ses problèmes de santé. S’il a dû prendre congé de son poste de dirigeant par deux fois, il a tout de même essayé au maximum de continuer à piloter l’essor de son entreprise malgré ses deux cancers du pancréas. Une belle preuve de courage et d’engagement pour son entreprise !

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