Même si les tendances économiques contradictoires freinent la reprise annoncée sur le marché du recrutement, on constate une demande accrue des entreprises en recherche de nouveaux profils. Bien souvent dénichés via des nouveaux canaux de recherche.
Tous les managers s’accordent à dire que la qualité de leurs recrutements conditionne le succès de leur entreprise. Or un bon recrutement, c’est comme un bon achat : pas si fréquent, parfois intuitif, et pour lequel on gagne le plus souvent à être bien conseillé ! Voici quelques écueils « classiques », bien connus des recruteurs professionnels.
L’entretien d’embauche est l’élément clé du processus de recrutement : il permet au recruteur de valider l’adéquation entre les attentes de l’entreprise et le projet professionnel du candidat. mais aussi de vérifier la motivation du candidat pour le poste à pourvoir.
Grâce à l’intéressement, les dirigeants ont aujourd’hui à leur disposition plusieurs outils financiers permettant de diversifier le mode de rémunération de leur salarié.
Quand on pense « entrepreneur » on n’imagine pas forcément une femme avec un bébé dans le ventre et un autre dans les bras… et pourtant les jeunes mamans qui se lancent dans l’aventure entrepreneuriale sont de plus en plus nombreuses.
Nombreux sont les locataires qui sont prêts aujourd’hui à devenir propriétaires… Mais est-ce toujours vraiment la meilleure solution ? Un locataire a-t-il toujours intérêt à devenir propriétaire ? Cette question mérite réflexion, car la réponse n’est pas aussi évidente qu’il n’y paraît
Pour fixer le salaire d’un futur collaborateur, il convient avant tout de se poser les bonnes questions. De quelle ressource avez-vous besoin pour votre croissance ? Pour quel poste ? Un débutant, une première expérience, un expert, un diplômé, à temps plein, mi temps… ? Une fois le profil défini, cela vous permettra d’allouer une fourchette de salaire dans votre budget prévisionnel. Cependant il faut respecter certaines conditions légales régies par le code du travail et la convention collective dont vous dépendez.
Si toutes les entreprises individuelles relèvent de l’impôt sur le revenu, elles ne sont pas pour autant toutes soumises au même régime d’imposition ! La loi distingue en effet les régimes forfaitaires des régimes réels, leur champ d’application respectif résultant du montant de chiffre d’affaires généré par l’entreprise.