Les différences de traitement entre les femmes et les hommes ont un impact sur la retraite des femmes. C’est pourquoi la loi portant réforme des retraites du 9 novembre 2010 met en place diverses mesures, pour tenter de réduire ces écarts.
Il existe deux modes d’imposition des bénéfices des entreprises individuelles relevant des BIC : le régime des « micro-entreprises », dit micro-BIC, et le régime réel qui comporte lui-même deux variantes, le « réel simplifié » et « le réel normal ».
La loi du 15 juin 2010 a marqué l’avènement de l’entreprise à responsabilité limitée (EIRL). Depuis le 1er janvier 2011, l’exploitant individuel peut mettre son patrimoine à l’abri du risque de l’entreprise par le mécanisme innovant du patrimoine affecté.
La valorisation s’avère indispensable lors d’une augmentation de capital, tant pour les créateurs (valeur pré monnaie) que pour les investisseurs (valeur post monnaie) afin qu’ils connaissent leur(s) futur(s) pourcentage(s) respectif(s). Elle permet notamment de « camper le paysage » en termes de négociation sur la valeur de l’entreprise entre ces deux parties et d’objectiver ainsi la transaction.
Vrai ou faux : plus vous vous mettez en avant plus vous recevrez des recommandations ? Faux ! Quelques pistes pour créer une bonne image de soi au sein de son réseau et collectionner ainsi les recommandations.
Il est fréquent d’entendre, dans le contexte de l’entreprise, qu’un « cadre » n’a pas d’horaire. La réalité juridique est un peu plus complexe et nécessite que l’on s’y attarde. En effet, en matière de durée du travail, il existe une multitude de type de « cadres ».
Les deux indicateurs clés de gestion financière que doit suivre un dirigeant d’entreprise sont la rentabilité et la trésorerie. Une bonne rentabilité ne signifie pas nécessairement qu’il y a suffisamment de trésorerie dans l’entreprise.
Pour toute jeune entreprise, le commerce reste le nerf de la guerre. Néanmoins, réaliser une étude de marché et maitriser les techniques de vente ne suffisent pas pour construire un chiffre d’affaires durable et en progression régulière.
L’Ile-de-France compte aujourd’hui 468 000 entreprises de moins de 250 salariés qui ne sont pas filiales de grands groupes. 60 000 d’entre elles pourraient être transmises au cours des cinq prochaines années. Comment répondre à cet enjeu ? La CGPME Ile-de-France propose aux dirigeants une première évaluation et identifie les partenaires utiles aux PME.