Les grands retards de paiement inter-entreprises au plus haut en Europe depuis trois ans.
9,1 % des entreprises européennes règlent leurs fournisseurs avec plus de 30 jours de retard.
Les entreprises tentent de résister en France, tandis qu’elles décrochent en Italie et plongent au Portugal.
Les retards de paiement des entreprises européennes s’établissent à 13,8 jours en moyenne sur le
premier trimestre 2013 et s’éloignent un peu plus du niveau d’avant-crise (12,5 jours). C’est ce que
révèle l’étude trimestrielle Altares basée sur les balances âgées des entreprises1.
Traduction de cette dégradation, seules 42,4 % des entreprises européennes règlent leurs factures
à l’échéance, c’est-à-dire à la date convenue contractuellement avec le fournisseur.
Mais plus que la proportion de bons payeurs, le taux de retards supérieurs à 30 jours est davantage le marqueur de la santé financière des entreprises. Ces grands retards de paiement sont symptomatiques d’une trésorerie très dégradée et d’une poursuite d’activité compromise. Désormais, 9,1 % des entreprises européennes reportent leurs paiements d’au moins 30 jours ; ce taux est le plus élevé depuis le printemps 2010, soit depuis trois ans. À titre de comparaison, au plus fort de la crise la proportion de grands retards avaient atteint 10 % ; situation vers laquelle on tend actuellement.
Les comportements de paiement se tendent sévèrement en Italie (près de 19 jours de retard en moyenne) et au Portugal (au-delà de 31 jours). L’Allemagne (environ 6 jours) reste vertueuse mais des tensions apparaissent. La France (12,3 jours) enregistre pour le quatrième trimestre consécutif une lente mais régulière dégradation.
Les réseaux sociaux tels que Twitter, Facebook sont connus pour accroitre et propager des rumeurs en tous genres. Les marchés financiers ne sont pas épargnés.
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