Les bad buzz restent souvent provoqués par des propos ou des actes racistes ou sexistes. Depuis l’avènement des réseaux sociaux, les mauvaises pratiques des entreprises ne restent plus dans l’ombre. Dernièrement, Starbucks a vécu une polémique autour d’un acte raciste de la part d'un de ses baristas. Reconnu comme un crime ou un délit puni par la loi, il peut dégrader fortement l’image d’une entreprise. Alors comment faire face à de telles polémiques et revenir dans le droit chemin ?
Les 13 et 14 juin prochains se déroulera la 15ème édition du Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes ! Pour l’évènement, 15 000 créateurs, repreneurs, start-up et dirigeants de TPE/PME-ETI sont attendus. Au programme de ces deux jours, près de 100 conférences et workshops ainsi que 25 animations pour un total de 150 partenaires et exposants. Rendez-vous au Centre de Congrès de Lyon, de 9h à 18h30 le mercredi et de 9h à 18h le jeudi.
Les publicités représentent le moyen de communication par excellence, qui permet d'augmenter sa notoriété et de marquer l'esprit du consommateur. Certaines marques n'ont, malgré tout, pas vraiment réussi à faire passer le message souhaité et leur campagne a vite tourné au bad buzz. Parmi elles, des publicités choquent, scandalisent et révoltent les internautes. Autant dire qu’on aurait, sans doute, préféré ne jamais les voir...
La publicité reste un excellent moyen de communication pour les marques qui souhaitent frapper les esprits de leurs clients. Si certaines, mal interprétées, tournent rapidement au « bad buzz », d'autres, bien au contraire, réussissent avec brio leur pari et séduisent les consommateurs. Retour sur ces buzz publicitaires réussis de cette année.
Il y a seulement quelques mois la célèbre chaîne de restauration rapide américaine suscitait déjà la polémique à cause de ses glaçons qui auraient contenu de la matière fécale. Aujourd’hui, le problème réside dans la nouvelle recette de l’enseigne, la « Chizza ». Les internautes se déchaînent et le bad buzz semble encore avoir frappé…
Fraîchement débarquée en France, la marque japonaise suscite déjà le buzz aux quatre coins de la Planète. Alors qu’il promet des cils déployés et redimensionnés d’un simple coup de baguette magique et pour moins de 25 euros, le mascara a de quoi faire pâlir ses concurrents.
En dehors de la réalité, véritable bourde politique ou buzz sur Internet, les mots ne manquent pas pour qualifier la réplique désormais mythique de Jean-François Copé : « un pain au chocolat coûte aux alentours de 10 centimes d’euros ». S’empressant de reprendre la phrase, le loueur Sixt en a alors fait son cheval de bataille à l’occasion de sa publicité.
Les derniers jours de 2016 résonnent d’un bruit médiatique strident, pour le réseau d’agences immobilières Laforêt, qui se révèle être une nuisance pour l’enseigne. Vous l’aurez deviné, il s’agit bien d’un bad buzz. Le moins qu’on puisse dire est que l’annonce affichée par l’un de ses franchisés, considérée comme raciste, n’aura pas été un atout pour la location du bien.
Nous connaissions le savon mais il existe aussi l’application raciste ! Au printemps dernier, l’application FaceApp se trouvait au cœur d’une sérieuse polémique. Programme permettant de retoucher instantanément des selfies, celui-ci lançait, en avril dernier un nouveau filtre « sexy » qui consistait, en réalité, à blanchir la peau de ses utilisateurs ! Sur la toile, les internautes se sont rapidement indignés et il ne s’agit pas d’une première. Les détails.
Vendredi dernier, un nouvel ouragan s’est abattu sur la twittosphère. Le média Konbini, connu pour son ton décalé, a publié la vidéo d’un micro-trottoir sur la meilleure façon de séduire la gent féminine… L’un des participants invitait à « faire boire les filles » et la diffusion de tels propos a profondément choqué les viewers. Accusé de cautionner des « méthodes de violeur », le webzine a manifestement opéré un mauvais choix de publication.