Comment surveiller l’activité en ligne de vos enfants du bureau ?

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Les dangers pour les enfants ne se trouvent pas seulement au coin d’une rue, ils se trouvent à quelques clics et ce qui est le plus inquiétant au sein de votre domicile, désigné comme le havre protecteur. Comment éduquer votre enfant sur les risques encourus sur les réseaux sociaux, comment leur expliquer les dangers d’internet, et comment établir par le dialogue avec eux des règles.

Coby Persin, célèbre vlogger sur YouTube, a mené une expérience sociologique en partenariat avec mSpy, l’application de contrôle parental pour espionner un téléphone portable, et il en ressort que les enfants acceptent facilement de donner rendez-vous à un inconnu rencontré en ligne.

Le vlogger s’est lié d’amitié avec trois enfants via Snapchat et deux jours plus tard, ils se sont tous présentés au rendez-vous.

Les parents ont été choqués par la facilité avec laquelle les enfants ont partagé leur numéro de téléphone et ont accepté de le rencontrer en personne. La vidéo est assez effarante mais c’est un must pour tous les parents.

Les parents de Louis (12), Sophie (13) et Marine (14) n’ont jamais pensé que leurs enfants iraient jusqu’à rencontrer un inconnu rencontré sur le réseau Snapchat dans le monde réel. En tant qu’entrepreneur, vous êtes si occupé que le fait que vos enfants soient au sein de votre domicile vous rassure mais si c’était là justement la porte ouverte à tous les dangers.

Qu’est-ce que Snapchat ?

Snapchat est l’une des applications de chat les plus populaires chez les adolescents. Elle est également considérée comme l’application la plus utilisée pour les sextos (ou textopornographie). Rappelons que les sextos ne consistent pas seulement en l’envoi de SMS avec des indices sur le sexe mais qu’il s’agit du partage de contenu sexuellement explicite (photos avec des parties du corps à moitié nues) avec quelqu’un.

Avec l’aide du logiciel espion mSpy, les parents peuvent accéder à tous les chats que leurs enfants ont eus récemment. De plus, les parents ont aussi la possibilité de surveiller le tchat via Telegram, Facebook Messenger, WhatsApp, Viber, et plus généralement toutes les messageries de tchat qui sont largement utilisées pour les sextos, le cyberharcèlement et pour entrer en contact avec de potentiels prédateurs.

Comment vous pouvez protéger vos enfants avec le logiciel espion mSpy ?

Afin de prévenir les dangers en ligne, les parents devraient être au courant de ce qui se passe sur Internet où leur enfant va tous les jours. C’est pourquoi l’utilisation d’un logiciel espion parental comme mSpy est un must. C’est l’un des meilleurs logiciels espion de téléphone portable qui rend l’activité Internet de l’enfant visible pour ses parents.

L’appli pour espionner un téléphone portable, mSpy, peut aider les parents de différentes manières :

  • Gestion de l’utilisation d’Internet. L’application surveille les sites, les médias sociaux, affiche les signets et l’historique de navigation.
  • Contrôle de l’utilisation des applications. Les smartphones remplis d’applications font perdre du temps aux enfants. Et certaines applications sont absolument malsaines (Omegle, Yellow, Foursquare). C’est pourquoi mSpy propose de visualiser toutes les applications installées sur l’appareil de l’enfant et de les bloquer à distance.
  • Surveillance des applications de messagerie instantanée. Les parents peuvent surveiller Facebook Messenger, Telegram, WhatsApp, ou Snapchat pour identifier les sextos ou le cyberharcèlement.
  • Identification des dangers en ligne à l’aide d’un enregistreur de frappe. Le logiciel espion permet aux parents de suivre les frappes sur le clavier de l’appareil cible. Par exemple, si vous mettez en place « #roastme », ou « sexe, vous serez alerté dès que ces mots sont tapés par l’enfant.
  • Suivi de la position actuelle par GPS. Vous pouvez à tout moment obtenir des mises à jour sur la position actuelle de votre enfant avec des horodatages. Vous pouvez également consulter les journaux d’itinéraires.
  • Mise en place des géo-clôtures pour recevoir une notification dès que l’enfant s’éloigne des zones de sécurité.
  • Surveillance des appels et des SMS. Cette fonction est utile si les parents ont besoin de savoir pourquoi leur enfant est irrité ou déprimé quand quelqu’un appelle ou envoie un SMS. Ils peuvent consulter les journaux d’appels, et les messages.

Le logiciel espion mSpy est l’une des solutions les plus efficaces mais pas un remède. Assurez-vous d’éduquer votre enfant, d’avoir une conversation avec lui sur les dangers du Net, d’établir des règles et de lui donner le bon exemple.

Quels sont les différents risques auxquels sont exposés les jeunes sur Internet et les réseaux sociaux.

Les sextos

La textopornographie est définie comme l’échange de messages ou d’images sexuellement explicites via des dispositifs de communication. Ce n’est plus une pratique réservée uniquement aux adultes. En effet, 39 % des adolescents admettent envoyer des sextos. De plus, ils utilisent leur propre langage, ce qui peut rendre ces envois indétectables pour certains logiciels espions.

Le cyberharcèlement

Le cyberharcèlement est la même forme d’intimidation dont nous avons tous été témoins à l’école. Il se produit au moyen des smartphones et des PC où les enfants taquinent ouvertement et font des farces à leurs amis, camarades de classe, etc.

Les enfants peuvent être confrontés au cyberharcèlement de plusieurs façons :

  • Sur les médias sociaux comme Instagram, Facebook ou Snapchat. Les taquineries, les plaisanteries et les farces peuvent facilement se transformer en cyberharcèlement et en moqueries ouvertes, comme ce fut le cas avec Marion. La fillette de 13 ans qui vivait dans l’Essonne s’est suicidée après avoir été intimidée en ligne pendant plusieurs mois.
  • Les applications de messagerie anonyme et les sites Web permettent de fournir des liens vers les comptes sociaux des enfants. En les suivant, n’importe qui, ami ou inconnu, peut laisser des commentaires tout en restant inconnu. Ce genre de plates-formes est souvent une pépinière de brimades, de rumeurs et de mauvaises blagues.
  • Le hashtag #roastme, utilisé indifféremment en France et dans les pays anglophones est une demande que les enfants laissent sous des photos ou des vidéos, demandant intentionnellement aux internautes de les taquiner. Souvent, les blagues se transforment en insultes directes, car n’importe qui peut laisser des commentaires.
  • Les chats vidéo en streaming en direct fournis par les applications concernées. Ils permettent à des amis et des étrangers de se joindre aux salles de chat et d’échanger des vidéos. Ils sont largement utilisés pour le cyberharcèlement ainsi que par les prédateurs en ligne. Un exemple ? En 2012, deux garçons de 17 ans se sont suicidés après avoir été piégés. Les ados se sont déshabillés devant leur webcam en pensant que des filles les regardaient. En réalité, il s’agissait d’un homme qui les a menacés de diffuser la vidéo sur le Web s’ils ne lui versaient pas de l’argent.

Les prédateurs sexuels sur Internet

Selon plusieurs études, il y aurait plus de 750’000 prédateurs sexuels connectés en permanence sur Internet. Et selon une enquête de la police suisse, un prédateur sexuel entre en contact avec un enfant toutes les 2,6 minutes. Leurs astuces évoluent autant que les sites et applications Internet. Par exemple, l’application Omegle apparie aléatoirement des utilisateurs via webcam, les nomme « You » et « Stranger ». Les utilisateurs tournent de courtes vidéos et se les échangent. C’est une excellente plateforme pour les prédateurs en ligne…

Les sites de rencontres pour adolescents se sont également multipliés, attirant de nombreux prédateurs sur ces réseaux particuliers. Les prédateurs en ligne s’y cachent sous de faux et se lient d’amitié avec les enfants. Ils font semblant d’être gentils, et vont à la pêche aux informations comme le nombre de personnes à la maison, si l’enfant sort ou reste seul, s’il a un téléphone portable, etc.

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