Gérer les bugs informatiques : crier sur votre ordinateur jusqu’à ce qu’il obéisse

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Ah, les joies de la vie d’entrepreneur ! Vous avez une idée brillante, un plan infaillible, et l’ordinateur sur lequel vous comptez pour concrétiser vos rêves. Mais attendez… Un message d’erreur ? Un écran bleu de la mort ? Un logiciel récalcitrant ? Les bugs informatiques semblent en plus toujours arriver au pire moment. C’est là que vous entrez en scène en tant qu’entrepreneur avisé, prêt à utiliser votre compétence la plus secrète : crier sur votre ordinateur ou taper dessus. Voici comment survivre à ces moments informatiques désespérés.

La préparation

La gestion des bugs informatiques demande une préparation minutieuse. Avant de vous lancer dans un dialogue houleux avec votre ordinateur, assurez-vous d’être bien préparé. Vous aurez besoin d’une réserve d’eau (vous risquez de vous déshydrater à force de crier), de mouchoirs (pour essuyer vos larmes de frustration), et d’un public (vos collègues de bureau vous trouveront probablement hilarant). Assurez-vous également que personne n’a placé d’enregistreur audio à proximité, car personne ne veut que son cri de guerre informatique devienne viral.

Le ton juste

Le cœur de votre stratégie consiste à trouver le ton parfait pour vos cris. Évitez le cri aigu de panique, qui ne fera que stresser davantage votre ordinateur. Optez plutôt pour le cri rauque de détermination, accompagné d’un regard furieux. Votre ordinateur doit sentir que vous êtes prêt à en découdre, même s’il ne peut pas ressentir grand-chose, étant donné qu’il est une machine inanimée.

Les injures créatives

N’hésitez pas à user d’injures créatives pour exprimer votre mécontentement envers cette machine désobéissante. Le dictionnaire des insultes envers les ordinateurs est vaste, des classiques « bon à rien » et « tas de ferraille » aux expressions plus élaborées telles que « vous êtes la source de tous mes problèmes et je devrais vous remplacer par un abaque ». Laissez libre cours à votre imagination, tout en veillant à rester professionnel devant vos collègues.

 La danse de la frustration

Si les cris ne donnent pas de résultats immédiats, passez à la danse de la frustration. Sautez d’un pied sur l’autre, agitez les bras, et effectuez des mouvements désespérés avec la souris. Qui sait, peut-être que votre ordinateur sera si déconcerté qu’il finira par se réparer tout seul pour échapper à cette scène surréaliste.

La négociation

Si toutes vos tentatives précédentes échouent, passez à la phase de négociation. « Cher ordinateur, si tu fonctionnes correctement, je te promets de ne plus jamais laisser de café à portée de clavier, de faire régulièrement des sauvegardes, et de ne pas surcharger ton disque dur avec des photos de chats mignons. » Parfois, un peu de diplomatie peut faire des merveilles.

L’abandon temporaire

Si tout le reste échoue, il est peut-être temps de faire une pause. Quittez votre poste de travail, respirez profondément, et laissez votre ordinateur réfléchir à ses actions. Il est possible que, lorsque vous revenez, il ait décidé de fonctionner correctement par crainte de subir une nouvelle avalanche d’insultes.

La célébration

Quand votre ordinateur enfin obéit, c’est le moment de célébrer. Faites une petite danse de la victoire, tapez-vous dans le dos (ou le clavier), et assurez-vous de remercier chaleureusement votre machine pour sa coopération. Vous êtes le maître de la situation, et vous pouvez désormais poursuivre votre quête entrepreneuriale sans être contrarié par les caprices de votre ordinateur.

Plutôt que de laisser les problèmes techniques vous submerger, ayez l’humour comme allié. Bien sûr, il est peu probable que votre ordinateur obéisse réellement à vos cris, mais au moins vous aurez l’occasion de vous défouler tout en amusant vos collègues. Et souvenez-vous, c’est votre ordinateur qui est supposé travailler pour vous, pas l’inverse. Bonne chance dans votre bataille contre les bugs informatiques, et n’oubliez pas que l’humour est le meilleur antivirus. Après tout, rire, c’est encore mieux que crier !

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