Ces mauvais chefs d’entreprise vu dans les films

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Il vous est probablement arrivé de regarder des films ou des séries télévisées mettant en avant des dirigeants d’entreprises auxquels vous n’aimeriez pas ressembler. Chacun des six portraits qui seront dressés ci-dessous contiendront un défaut poussé à l’extrême à ne jamais reproduire sauf si vous tenez à donner une mauvaise image de votre société. Mais si tel était le cas, vous ne liriez certainement pas cet article n’est-ce pas ?

Le sadique

On nous montre aujourd’hui à tort ou à raison le chef comme celui qui décide, qui dirige, qui oblige les autres à faire plus ou moins ce qu’il veut sous peine de les mettre dehors. Certains individus, à cause certainement de cette vision erronée du statut, adoptent cette conduite. Ils abusent de leur statut professionnel et n’hésitent pas à humilier leurs employés jusqu’à provoquer des dépressions nerveuses.

Un exemple : Spacey dans le film Comment tuer son boss correspond parfaitement à ce genre de portrait. Décrit comme l’exemple typique de la perversion, il promet à ses employés des récompenses qu’il finit par s’auto-attribuer en les faisant miroiter bêtement.

L’histrionique

De nos jours, avoir une vie personnelle à côté de ses fonctions professionnelles n’est plus à proscrire. Il est évident que, pour mieux éviter les scandales liés à leurs professions, les chefs d’entreprises médiatiques doivent à tout prix se garder du moindre écart extra-conjugal et ne pas sauter sur la première nouvelle recrue venue ! Ce conseil valant dans tous les cas de figure, si vous êtes une femme ou un homme.

L’agressif irrespectueux

Le chef d’entreprise, à défaut d’être un ange, se doit d’être compréhensif. Sans pour autant passer pour un assistant social. Certains négligent complètement cette règle. Ils se montrent particulièrement peu fiers de leurs employés quand ils réussissent mais affichent une cruauté féroce lorsqu’ils commettent une erreur colossale.

Un exemple : Avery Bullock, le patron de Stan dans American Dad. Son manque de reconnaissance est tel qu’il refuse publiquement de lui adresser la parole dans certains épisodes.

L’absent

Un dirigeant de société doit forcément pouvoir être présent (ou un des représentants) lorsqu’un de ses salariés lui réclame du temps. Il ne s’agira pas forcément d’une demande plus importante de rémunération. Il voudra peut-être discuter d’un sujet qui lui tient particulièrement à cœur, qu’il soit lié ou non à sa vie professionnelle. Oui, mais à une condition : Que le chef en question soit là !

Un exemple : Si vous avez regardé Drôles de dames , vous vous êtes sûrement aperçu que Charlie brillait par … son manque de présence à l’écran !

Le ringard

Dans un monde de plus en plus régi par les technologies, il importe de savoir s’en servir. Le problème est que certains patrons n’arrivent pas à s’adapter. Faisons l’impasse sur les réseaux sociaux auxquels il n’est pas forcément inscrit et concentrons-nous à la place sur le mobilier qui orne son bureau : Un téléphone à cadran, une machine à écrire, un réveil mécanique… De quoi passer pour une personne démodée, surtout lorsqu’il oblige le service à adopter les mêmes équipements.

Un exemple : Montgomery Burns des Simpson. Sans forcer son personnel à vivre comme au temps des cavernes, on ne peut pas dire qu’il incarne à lui seul la modernité.

L’osthraciste

Détestable à souhait, il affiche sa supériorité tout en méprisant les autres, ceux qui ne sont pas de son monde. Tous y passent : qu’il s’agisse de ceux n’ayant pas les mêmes goûts vestimentaires que lui ou d’une personne qui ne partage pas sa passion pour le sport. Dans tous les cas, il fait clairement comprendre à ses subalternes qu’ils sont des idiots.

Un exemple : Serge Pilardosse, incarné par Gérard Depardieu dans Mammuth est un ancien employé en retraite que ses patrons ont oublié de déclarer. L’un d’eux, un viticulteur ira même jusqu’à le traiter de c.., après qu’il ait admis que ses connaissances dans ce domaine étaient bien faibles.

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