10 bonnes pratiques de l’ergonomie web

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Le nombre de sites internet est exponentiel. Pour pouvoir se distinguer de la concurrence et être un site de référence, l’ergonomie prend tout son sens dans la construction d’un site web. Pour que celui-ci présente une harmonie qui interpelle les internautes et capte leur attention, il ne faut négliger aucun des aspects. La navigation doit être plaisante et répondre aux attentes de l’internaute. Il doit le satisfaire grâce au critère d’utilité mais également grâce à l’esthétisme, l’expérience utilisateur globale, la qualité du service, la puissance et la fiabilité technique. Focus sur 10 bonnes pratiques.

L’architecture 

Un site se doit d’être bien organisé. Il doit être doté de regroupements logiques, d’une structuration mettant en avant les contenus clés et de menus aidant l’internaute à naviguer à l’intérieur du site.

L’organisation visuelle 

Une page doit être bien organisée. Il faut éviter le trop plein d’informations. Ainsi, afficher seulement les principaux éléments de navigation et d’interaction, afficher les éléments optionnels seulement si nécessaire, supprimer les éléments d’interaction inutiles et optimiser l’organisation et la hiérarchie visuelle.

La cohérence 

Le site doit capitaliser sur l’apprentissage interne. Les pages doivent être construites sur le même modèle, les localisations, les appellations, les formats, et les interactions doivent être cohérentes.

L’information 

Un site doit informer l’internaute et lui répondre. Il doit disposer d’un minimum d’informations générales et donner l’information ponctuelle. Il explique l’interface et doit informer au bon moment, avec un feedback sur les actions de l’internaute.

La compréhension 

Les mots et les symboles doivent être choisis minutieusement. Le vocabulaire doit être compréhensible, précis et concis et doit orienter l’utilisateur et rester conventionnel. Les symboles doivent être facilement compréhensibles dans le contexte.

L’assistance 

Un site, doit aider et diriger l’internaute. Grâce à l’organisation et à la visibilité. Il doit permettre que les clics soient logiques. En outre, il doit assister l’internaute en tenant compte de ses besoins, fournir de l’aide explicite en cas de besoin.

La gestion des erreurs 

Le site doit prévoir que l’internaute se trompe et faire en sorte qu’il sache ce qu’il doit faire. Il doit fournir une explication précise de l’erreur et permettre une correction des erreurs (formulaire, ou un feedback c’est-à-dire la possibilité d’interagir avec le site).

La rapidité 

L’internaute ne doit pas perdre son temps. Le site doit lui faciliter l’accès aux éléments cliquables (taille, position) et les interactions. De surcroît, il doit multiplier les clés d’entrée vers une même page (lien interne), éviter les actions inutiles et systématiques, et ne pas demander deux fois la même chose à l’internaute.

La liberté 

C’est l’internaute qui commande. Il faut donc lui proposer des actions (le retour en arrière du navigateur, le clic-droit, le copier-coller, etc…), des actions d’annulation voire des manières de contourner le système.

L’accessibilité :

Un site doit être facile d’accès pour le public. Il y a deux formes d’accessibilité : physique (respect des standards permettant la navigation à partir de logiciels spécifiques aux déficients visuels) et technologique (l’absence de plugin). Le site doit pouvoir s’adapter aux périphériques sur lesquels il est affiché. Mais surtout il doit être responsive pour s’adapter aussi bien aux téléphones qu’aux ordinateurs ou tablettes.

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